La démission d'un maire

Que ce soit à propos d'Alain Juppé ou bien de Jean-pierre Chevénement : il est bon de rappeler que la démission d'un maire ( qui est d'abord un conseiller municipal ) :

Il y a la loi L258:

[..]Toutefois, dans l'année qui précède le renouvellement général des conseils municipaux [Mars 2008] , les élections complémentaires ne sont obligatoires qu'au cas où le conseil municipal a perdu plus de la moitié de ses membres.
Dans les communes divisées en sections électorales, il y a toujours lieu à élections partielles quand la section a perdu la moitié de ses conseillers.

Donc aucune de ces démissions ne devrait provoquer de nouvelles élections ...

Des alliances de derniéres minutes

Je ne sais pas combien d'ente nous y ont cru, mais l'engagement de Chevénement dans la bataille présidentielle me paraissait faiblarde dés le départ. Une présentation puis une promesse de retrait et ensuite cet accord pas seulement de façade avec Ségolène Royal qui assure à des cadres du MRC des postes de candidats aux législatives. Aujourd'hui on entendra que cet alliance est "naturelle". Mais cela ne semble pas de l'avis des sympathisant du "CHE" qui sont "décu","ecoeuré" et qui clame haut et fort qu'il le "croyait sincère". La base semble avoir été négligé dans les grande largeur, puisque qu'aucune consultation ne semble avoir eu lieu. Alors que les contacts avec François Hollande et Ségolène Royal étaient déjà nombreux et presque chaleureux. Les signes donnés par la dame blanche, avec notamment sa sortie sur la BCE devant les socialistes européens préparait à cette union avec le "non" de gauche. Une alliance qui ne permettent pas de rassembler mais garantit aux pragmatiques -voire cynique- cadres du MRC d'avoir accès à des circonscriptions. Encore faut-il qu'il reste des militants pour poser les affiches...
A droite cela ne va pas tarder, avec MAM, chaque chose en son temps..