Sous le regard de l'Europe, la France montre l'ineptie de ses politiques.
Ce qui ressortira de ce débat ce n'est pas le CAP de la jeune avocate, ni la timidité de certains jeunes, ni encore le papal "N'ayez pas peur" mais bien l'éloignement croissant de Mr Chirac de ces électeur. A gauche ce ne serat pas la division ni l'éloignement de l'ancien premier ministre qui ferat presse mais bien l'loignement avec une patrtie des électeurs qui tangue vers le non.
Voilà le problème
1)A gauche: Mr Hollande a refusé de voir dans les 40 % un vrai risque de basculement. Une vision trop manichéenne de la politique donne cela il ne manquait plus que 120 000 léecteurs pour que les électeurs basculent. Chose faites depuis longtemps puisque Raffarin et d'autres se sont inquiétés d'entrée de la montée du non.Les leaders du Oui n'ont pas vraiment laissé le temp à la campagne de s'installer. Et l'interprétation d'un ras-le bol de la politique du gouvernement est apparu rapidement ( à juste titre ). En l'espace de 4 sondages Mr le premier secrétaire du Parti Socialiste a réaffimer la comdamnation des partisans du non dans son Camp et Fabius de surfer à nouveau sur le NON. Alors qu'il avait tenté de faire croire à sa reconversion. Bref la prise en compte de cette inquiétude a conforté les électeurs dans leur volonté de prendre en otage un référendum qui n'avait pas, au départ, d'ambition national.
2) A droite :L'absence remarqué de Sarkozy ( fort de ces 90 % de vote Oui), laissait le champ libre au ténor d'une droite particulière en la personne de mr de villiers. Lui aussi a su se faire entendre. La campagne étant à peine dans les têtes que déjà Mr Chirac convoaquait les deux chambres pour faire barrage au vote Anti-turquie. Et voilà donc les électeurs de droites enrolés et mobilisé parce qu'une de leur question est pris en compte . Ensuite Le gouvernement tout entier se met en campagne Le plus impopulaire d'entre eux à leur tête et promet pour la France une proximité jamais connue. Le Vote de ras-le-bol est plus que jamais récompensé. Mais l'illusion n'est pas et raffarin se retrouve seul devant ses élus à nice, Sarkozy se retrouve lui à promettre en échange de vote pour le OUI .
Le résultat n'est pas qu'on ne devrait pas prendre ses réticences au sérieux mais plutôt faire oeuvre de pédadogie et utiliser la démocratie.
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