Affaire de conviction..
Le problème avec le vote blanc c'est que les parti ont l'impression de
tomber dans le vide. Tout au contraire , il constitue une partie de
l'électorat qui reste à convaincre.
Point.
Seule la sincérité du scrutin peut préserver notre République une et indivisible
Comptabiliser les bulletins blancs parmi les suffrages exprimés permettra de refonder notre démocratie sur la base d'un geste électoral à nouveau partagé par tous : le vote.
Le problème avec le vote blanc c'est que les parti ont l'impression de
tomber dans le vide. Tout au contraire , il constitue une partie de
l'électorat qui reste à convaincre.
Point.
Ecrit par
Guiraud
le
11/01/2006
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Les adhérents auront le choix entre trois bulletins de votes, mais il n'y aura certainement pas de bulletin blanc. Les amis de Lionel Jospin le souhaitaient pourtant.Est-ce que cela signifie que Lionel Jospin est favorable à la reconnaissance du Vote Blanc ? Désormais ? Le vote blanc aurait-il un goût de liberté ?
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Mehdi
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le
11/01/2006
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C'est un petit renvoi d'ascenseur mais pour cela je n'ai pas eu de bières et rien d'autres d'ailleurs. Place publique a mis en ligne notre pétition pour la reconnaissance du Vote Blanc, elle mériterait un sérieux coup de boost. car malgré ces 1500 signatures, Le débat doit a avoir lieu et vite !!
L’association Place Publique a pour objet de :Et ils font cela depuis longtemps , avant le référendum, avant les référendums, depuis 1995 en tant que groupe associatif et 1996 en tant que site internet. Rappelons que c'est avant la bulle internet. Bravo donc et Merci.Favoriser la diffusion d’une information non marchande sur l’économie solidaire, la culture vivante, la démocratie participative, le développement durable ;
Enrichir la réflexion et le débat public sur les enjeux de société, du local à l’international ;
Faciliter les échanges d’expériences entre citoyens, ainsi que la mise en commun des projets et des savoir-faire associatifs ;
Développer une " coproduction de l’information " avec les acteurs sociaux, en tirant parti des possibilités d’interactivité offertes, en particulier, par Internet.
Ecrit par
Mehdi
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le
11/01/2006
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Nous sommes tous des non-candidats
à l’élection présidentielle de 2007
Le suffrage universel est en danger depuis des années.
Le plébiscite de 2007 est en passe de l’achever.
Le 29 mai 2005, en refusant le traité constitutionnel européen, les citoyens français ont dit leur volonté d’une autre politique et refusé d’officialiser la disparition de la souveraineté populaire. Comme seule réponse, la plupart des dirigeants politiques ont décidé de continuer sur la même voie, négligeant ce scrutin, méprisant les citoyens et leur décision.
Depuis des années, d’élection en élection, le refrain est le même. Les électeurs sont invités à avaliser sans débat et sans contestation possible tous les textes poubelles que leur propose la classe dirigeante, à voter sans opposition pour les porte-parole qu’elle leur impose.
Des « spécialistes » expliquent doctement que nous vivons une « crise de la démocratie ». Mais de quelle crise s’agit-il sinon d’une offensive menée contre la volonté collective des citoyens ? En effet, une déconstruction progressive de la démocratie et une délégitimation du suffrage universel se développent au nom de la « contrainte internationale », des « impératifs de la construction européenne » ou de « l’efficacité économique ». En s’attaquant ainsi frontalement à la souveraineté populaire, les classes dirigeantes renouent avec des comportements aristocratiques : des élites autoproclamées se cooptent au pouvoir en refusant de rendre compte des choix de fond qu’elles effectuent, notamment en déniant toute valeur à quelque opposition sérieuse que ce soit.
Au total, c’est la liberté individuelle et le contrat social, fondements de la République, qui sont remis en cause. Le mépris affiché envers les partisans du « non » au traité constitutionnel européen est le symbole de cette régression tragique des pratiques démocratiques. Et l’élection présidentielle qui s’annonce s’inscrit dans la volonté d’effacer le vote du 29 mai en ne donnant le choix qu’entre plusieurs partisans du oui. Elle est donc plus un plébiscite en faveur de la classe dirigeante qu’un vrai choix politique. Dans ce contexte, une candidature du Non, vouée à la marginalité, ne peut que dévaloriser l’expression populaire.
Nous, citoyens conscients et responsables qui avons voté Non au projet de traité constitutionnel, refusons de cautionner un jeu pipé. Attachés au suffrage universel, nous allons toujours voter. Cette fois nous voterons blanc parce que cette présidentielle est, telle qu’elle se dessine, destructrice du débat politique et du choix démocratique. Seule cette attitude nous paraît cohérente avec le vote du 29 mai 2005.
Le suffrage universel : un combat
Le suffrage universel ne s’est jamais présenté comme une évidence. C’est une insurrection populaire qui l’imposa, d’ailleurs seulement pour les hommes, le 10 août 1792, à une Révolution française tâtonnante. Auparavant, la bourgeoisie triomphante avait organisé un suffrage censitaire réservant le droit de vote aux possédants. Par la suite, le suffrage universel a toujours été contesté de façon plus ou moins directe par des fractions de la classe dirigeante. Et ce sont les citoyens qui ont permis son maintien, en votant avec constance pour la République à partir des années 1880.
L’acceptation d’un contrat social et l’équilibre au sein de la société passent par l’expression de tous. Nul individu, nul groupe, ne peut prétendre imposer à tous sa vérité, sa volonté. C’est ainsi que la démocratie n’est pas l’alibi de la domination d’une classe mais la forme politique qui permet le dépassement, par conflits et compromis successifs, de cette domination. Les tensions et la violence sociales d’aujourd’hui sont aussi une conséquence de l’absence de démocratie.
Aujourd’hui, si le principe même du suffrage universel n’est plus officiellement attaqué, les forces qui lui sont hostiles cherchent à le contourner et à en réduire la portée. Mais cette nouvelle offensive contre la liberté et la souveraineté populaire, contre tout ce que les citoyens ont chèrement défendu naguère, reste aujourd’hui sans réponse.
Les attaques idéologiques contre les principes républicains ont eu pour but et souvent pour effet de dévaloriser le combat politique et social en même temps que l’expression du peuple. Les mots qui exprimaient jusqu’alors la volonté des citoyens sont eux-mêmes rejetés, déconsidérés. Parlez de souveraineté, on vous traitera de souverainiste, parlez de volonté populaire, on vous traitera de populiste, parlez de nation, on vous traitera de nationaliste. La démocratie elle-même est suspecte car on l’accuse de créer des tensions entre les citoyens. Le peuple est nié quand il n’est pas méprisé, rejeté. Autrefois, on parlait des banlieues rouges, de la zone, des classes dangereuses ; aujourd’hui on parle des racailles ou des salauds, suivant les origines des uns ou des autres. Dans les discours officiels, il n’y a plus d’intérêts qui seraient ceux de toute la nation, plus de peuple pour les définir. Il n’y a plus que les intérêts particuliers. Et les pouvoirs publics, malheureusement, se contentent de plus en plus d’en être les représentants.
Fait nouveau : ces assauts, menés autrefois essentiellement par des contre-révolutionnaires, sont aujourd’hui aussi conduits par des forces qui se réclament de la gauche. En effet, depuis des années, des philosophes membres de la soi-disant « nouvelle gauche » ont théorisé tous les abandons, ont légitimé tous les reniements. Pour eux, la notion de peuple est relativement indéterminée, l’égalité s’efface au profit de la liberté d’entreprise, l’intérêt général se confond avec le bon fonctionnement du libéralisme. De Pierre Rosanvallon à Michel Rocard, du Plan Juppé au traité constitutionnel européen, ils sont de toutes les régressions.
On installe ainsi l’idée d’un monde sans vie politique, sans débats fondamentaux, sans citoyens actifs. Les affirmations non contestées des experts se substituent aux confrontations politiques. Les émotions calculées et les prêches des responsables publics remplacent la condamnation des inégalités. Les mêmes qui ne veulent « laisser personne sur le bord du chemin » ne soutiennent-ils pas la libéralisation des marchés de capitaux ? Au total, l’invocation des contraintes économiques remplace la construction du contrat social, fondement de la République. Les citoyens sont invités à se soumettre à la mondialisation ou à une construction européenne sur laquelle ils n’ont aucune emprise et qui leur sont présentées comme incontestables.
Ne pas participer à l’élection présidentielle de 2007- Imposer la reconnaissance du vote blanc.
L’élection présidentielle est, de nos jours, organisée de telle manière qu’elle contraint les candidats soit à se couler dans le moule officiel, soit à demeurer marginaux. Faire émerger un nouvelle pensée ne résiste pas au jeu médiatico-institutionnel. Le rêve de nos dirigeants est, de plus en plus expressément, de constituer un système où la démocratie se résume à une compétition entre deux partis aux pensées assez proches, dessaisissant le citoyen de l’essentiel de sa capacité de choix. Les grands partis, soutenus par les médias, peuvent sans retenue user et abuser de la domination que leur confèrent les institutions. Ainsi 2007 se profile essentiellement comme une compétition entre des candidats tous partisans du oui à un référendum fondamental auquel le peuple français a dit non de la façon la plus nette.
Certes, des candidats honnêtes tenteront, par ailleurs, de porter les couleurs du Non. Mais ils se couleront dans un jeu réducteur dans lequel le clivage du 29 mai n’aura pratiquement pas de place. Ils ne seront alors que des candidats de témoignage ou des forces d’appoint dans les accords électoraux en préparation pour les législatives qui suivront et non des porte-parole crédibles d’une autre politique. Le faible score qu’ils feront comparé au 55% obtenus par le « non » signera leur erreur, tout en affaiblissant la portée du 29-Mai.
Car cette élection présidentielle est un jeu pipé d’avance qu’il ne faut pas cautionner. Il ne s’agit donc pas de trouver un candidat à jeter dans un nœud de vipères, mais de chercher collectivement la meilleure manière de donner un sens politique au Non. Le temps n’est plus aux petits accommodements avec le système dominant, mais à la construction d’une rupture avec lui qui soit cohérente, consistante et responsable.
Le 29 mai 2005 n’a pas vu, en effet, s’exprimer un vote ordinaire. Ce jour là, les électeurs ont montré qu’ils sont prêts à se mobiliser pour répondre à de vrais enjeux politiques. Ils ont affirmé « nous sommes le peuple et nous exprimons notre volonté ». C’est cette volonté et elle seule qu’il faut réaffirmer désormais aussi bien pour la détermination de la politique nationale que pour une construction européenne qui respecte le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Une nouvelle fois dans notre histoire, le Tiers-État n’est rien et doit redevenir tout. Le 29 mai a ouvert un espace politique qui redonne force et vigueur au suffrage universel.
En votant blanc, le refus de cautionner une élection qui n’est qu’une compétition entre des fractions de la nouvelle aristocratie doit permettre de déboucher sur une nouvelle organisation de la vie politique et, dans un premier temps, sur une Assemblée constituante. Celle-ci doit être réellement représentative du peuple français, c'est-à-dire être composée de représentants élus individuellement avec un débat public le plus large possible. Elle sera chargée de restaurer les principes républicains, démocratiques et laïques, la séparation des pouvoirs, l’égalité des citoyens et de donner corps au progrès social.
Face aux conséquences sociales dramatiques des politiques menées depuis des décennies, devant leur caractère destructeur de la société, seule une réappropriation collective de l’idéal démocratique peut permettre de reconstruire la légitimité du pouvoir politique.
le 23 octobre 2006,
Jean-Pierre ALLIOT, Journaliste, André BELLON, Ancien Président de la Commission des Affaires Etrangères de l’Assemblée Nationale, Michel BOUCHAUD, Enseignant, Anne CÉROBÉ, Enseignante, Daniel DERIOT, Travailleur social, Gilbert LEGAY, Graphiste, militant associatif et politique, Oise, Jérémy MERCIER, Étudiant, Jack PROULT, Militant associatif, Maine et Loire, François Roddier, Astronome à la retraite, Var, Claude Roddier, Astronome à la retraite, Var
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Mehdi
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le
11/01/2006
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Aux états-unis Le Réalisateur Fernando Mirelles a trouvé un distributeur pour son film tirée du Livre de José Saramago, L'aveuglement, dont l'histoire parle d'un aveuglement qui devient contagieux. Focus features, qui avait distribué the Constant Gardener et Brokeback mountain, rencontre ses dernières années de francs succés avec des réalisateurs venu de nouveaux horizons. Il sera co-produit par des canadiens et des brésiliens : Toronto's Rhombus Media, bee vine films un producteur japonais et un producteur Brésilien, O2 Films.
La production du film commencera l'été prochain.
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Mehdi
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le
11/01/2006
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Pour accompagner la lecture voici une jolie chanson pour fêter l'engagement de Jacques Chirac (histoire de participer au BuZZ présidentiel.).
La Propagande c'est aussi une congrégation établie à Rome pour propager la foi. Elle ne caractérise pas forcément la désinformation. C'est dans l'histoire, sa mauvaise utilisation, qui en a donné cette vision très partielle. Certains diront que la Propagande, dans son sens plus moderne, date de la première guerre mondiale où "Les intellectuels progressistes de l'époque , disciples de John Dewey*, faisaient partie de ceux qui ont participé avec ferveur et enthousiasme à l'effort de guerre de Wilson.[..] , ils étaient très fier de compter au nombre des membres les plus intelligents de la société, c'est à dire de ceux qui s'étaient montrés capable de convaincre une population réticente d'épouser le parti de la guerre en l'épouvantant et en lui inspirant un chauvinisme extrême." On reconnaît le style de l'intellectuel de gauche (voire d'extrême gauche) Noam Chomsky. Il reste que la méthode appliqué reste la même puisque Nicolas Sarkozy demande à ce qu'il y ait plus de
Moins de "Brouhaha" et plus de "ligne" ?
Le coté péjoratif de la propagande pourrait faire provoquer un recul au quidam. Se dire que la mise en place de cette cellule est la preuve d'une manipulation. Rapprochons d'abord cette vision de la nécessité pour tous les partis d'avoir une propagande lors d'une campagne électorale. Cette propagande est contrôlée en terme de financements et elle est normale. Comment le citoyen pourrait se faire une idée sur l'enjeu de son geste ? C'est plutôt l'annonce d'une nouvelle stratégie de recentrage qui semble donner les signes d'affaiblissement de ce marathon présidentiel.
En quoi est-ce un révélateur d'une stratégie ? A cause de cette aveu tirée du Figaro :
En réalité, Nicolas Sarkozy est en porte-à-faux sur ce sujet. Il a souvent dit qu'il détestait « se laisser enfermer dans une position
.
On ne peut pas dire que le candidat ait jusque là manqué de l'intérêt des média. Cela lui a permis jusque là de pouvoir mener une campagne de marketing à coup de Buzz. En effet, lorsque les sarkozystes multipliaient les commentaires contradictoires sur son départ du gouvernement. Le ministre de l'Intérieur a mis un point final aux conjectures en annonçant, en conférence de presse, qu'il resterait au moins jusqu'au 14 janvier." Ce qui a permis de pouvoir faire parler de la marque "Nicolas Sarkozy".
Stratégie "buzz-iste" utilisé (et entretenu) ces derniers jours par Jacques Chirac, et encouragé par un sondage. Ils semblent donc manifestement à deux sur le même créneau. Mais cela ne suffit probablement pas à Nicolas Sarkozy et il s'attaque aussi par ce recentrage à la désunion qui guette dans son propre camp entre la remontée de Dominique de Villepin, de Jean Pierre Raffarin, et le lancement de campagne de MAM. Sans parler de François Bayrou qui revient poussé par des sondages favorables. En fait de sondages il s'agit seulement d'un potentiel présidentiel (pdf) à 30 % et face à Le Peng encore...
Donc nécessité de recentrer le discours à droite et enfin d'éviter de se mêler à une gauche qui peut être satisfaite de sa stratégie avec les débats qui même, interrompu par les sifflets du zénith ont tellement fait parler d'eux que certains l'ont même demandés à l'UMP. Mais au fond pourquoi Le président de l'UMP donnerait une surexposition à des candidats de son camp qui affaiblirait Nicolas Sarkozy et qui serait une « machine à perdre []... ».
*John Dewey :"Nos écoles sont-elles accordées à notre idéal démocratique, si elles ne fournissent pas aux élèves le moyen de les contester, et éventuellement de les justifier?"
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Mehdi
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le
10/31/2006
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Mama est la première victime d'une campagne électorale qui entre médias et politique oublie que le peuple, lui, est au milieu et peut avoir à souffrir des balles perdus médiatiques. Marseille pleure, nous sommes tous Marseillais. Pourquoi faut-il que ce concours de violences entre banlieues se finisse par ça ? Et pourvu qu'ils se finissent...
J'ai piqué à l'émission de Laurent Ruquier la contribution chanté par Serge Iliado (chroniqueur permanent de l'émission) qui suit : ( d'aprés lili, de Pierre Perret ) Le fichier mp3.
Ecrit par
Mehdi
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le
10/31/2006
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C'est un peu geek politique mais c'est trés drôle... Le générateur ad hominem de petites-phrases.com. c'est un petit programme informatique qui génére des citations du type :Lionel Jospin, en raison de sa salve inacceptable à l'encontre des médecins, illustre d'autant plus sa suffisance balladurienne.
Jean-Louis Debré, par son insulte drolatique visant des producteurs de Chabichou, traduit de nouveau son ambition sans bornes.
ou encore :
Nicolas Sarkozy, suite à son pamphlet dramatique taclant des francs-maçons de droite, affirme à nouveau sa capacité de grand écart poujadiste.
génial !!!
[UPDATE]
j'ai failli le mettre en commentaire, mais je préfère l'assumer tout seul..
pour la paix des ménages :
"Laurent Gloaguen, suite à son intervention ignoble visant des femmes au foyer, démontre sans aucun doute ses penchants petit-bourgeois refoulés"
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Guiraud
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le
10/29/2006
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Je ne suis pas resté sourd à ta proposition de faire appel au bloggeurs. Je me permet donc de te proposer mon aide. En effet, mon action est centré autour de la reconnaissance du vote blanc. Et depuis le mois de septembre j'ai pu blogger la réponse de cinq candidats à la présidentielle à la question suivante :
"Si vous étiez élu avec 30% de voix 20% pour l'autre et 50 % de bulletins blancs, que feriez-vous ? "
Les réponses sont publiés sur mon blog : http://Partiblanc.blogspot.com
J'ai eu l'occasion de poser la question à cinq candidats :
Dominique Voynet (les VERTS), François Bayrou(?) , Christian Chavrier( parti fédéraliste ), Jean marc governatori ( La France en Action ), et Corinne le Page (CAP21). La dernière candidate n'a pu avoir l'honneur de mon blog compte tenu d'une bévue technique. C'est notamment la raison pour laquelle il me parait intérressant de faire appel à votr aide.
Pour ce qui de la question du Vote Blanc, Je ressens une véritable difficulté à pouvoir m'exprimer sur les médias traditionnel. Parce que probablement ceux-ci pensent que le concept est trop compliqué pour les Français. nous considérons
Ecrit par
Guiraud
le
10/29/2006
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Mehdi
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le
10/29/2006
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Guiraud
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le
10/27/2006
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Plus de Jolies femmes hier soir et passionné de politiques avec ça ! Les Jurys citoyens avaient une bonne audience et même si on en sait un peu plus à chaque heure qui passe .. Entre le débat et les articles dans le monde et vingt minutes ... et s'en est même plein la blogosphére dites donc... Bref La république était belle hier soir et je me suis répandu en propos qui renforce encore un peu plus mon ego. Je souhaite donc longue vie à Desmotsdescouleurs.com que Pierre Abruzzini a initié de main de maître.
Salut à l'ingénieur du son génial (en photo ).
Ecrit par
Mehdi
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le
10/26/2006
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Mehdi
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ségolène royal
le
10/24/2006
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Commentaire vu sur un blog jospinien :
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Mehdi
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projet socialiste.
le
10/23/2006
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Un week-end fantastique organisé par le Parti Fédéraliste où j'ai croisé pendant leur université de rentrée Marielle de Sarnez vice présidente de l'UDF, France Gamère de Générations écologie Antoine Sfeir des cahier de l'orient et Yoland Bresson entre autres excusez moi pour moi pour ceux que j'oublie, ils n'en étaient pas moins brillants. Les sujets abordés respectivement : Europe,Ecologie, Liban et Revenu d'éxistence et RIB ( Revenu Inconditionnel de Base). Tout cela animé de main de maître par Laurent Watrin.
Cela m'a aussi permis de rencontrer d'autre personnes : Noel Communod, trés sympathique au demeurant et même un envoyé de l'association pour la reconnaissance du Vote blanc d'Olivier Durand. Il y avait parait-il des gens de l'UMP... mais il ne sont pas beaucoup manifesté...
Il y avait aussi le Parti fédéral Marocain qui était là dans le fond de la salle, en amis.
Mais sincèremet ce que j'ai hâte de faire ( en dehors de vous rendre compte de mes discussions sur le vote blanc), c'est de travailler avec la France qui marche.
Enfin je ne peux pas finir ce compte rendu en courant sans remercier chaleureusement Christian Chavrier, Il a été disponible , à l'écoute, un être humain qui me paraît exceptionnel.
PS : Bientôt, bientôt le compte rendu du débat sur le vote blanc et l'interview de Christian Chavrier, je vous parlerai aussi de la proposition de paroles pour l'hymne européen d'Edmond Carlier, Aprés la République des blogs tout de même...
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Guiraud
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le
10/23/2006
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politque
le
10/19/2006
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Mehdi
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cevipof,
corruption,
politque
le
10/19/2006
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à 13 heures, mais bon faut regarder TF1. J'avais oublié ce que ça faisait. à comparer avec cet autre reportage. Donc, TF1 s'intérresse aux blogs: à midi le blog qui renseigne et le soir celui qui effraie... La ménagère de moin de cinquante y perd son latin, l'homme y trouve le goût du risque et les enfants normalement c'est pour bientôt, ou peut-être un fil RSS. Et à la suite de ça on aura la sortie du nouveau site de TF1 sur lequel les fidèles téléspectateurs de TF1 pourront avoir accés à la seule vraie info validé et, surtout, honnète... du buzz quoi, pas étonnant d'y retrouver.. Euh non . Je veux dire Est-ce que TF1 va lui aussi faire des blogs ? et chez qui ? Une analyse des médias met en tout cas en évidence l'absence d'investissements dans le secteur.
bon, en même temps, que celui-ci qui n'a jamais été fier de se voir à la télé me fasse le premier commentaire vengeur ...
Ecrit par
Mehdi
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moi,
république des blogs,
tf1
le
10/18/2006
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via versac ... Jean Pierre Raffarin propose ( pdf):
Organisation d'une journée nationale de consultation au cours de laquelle d'une part le Président de la République pourrait consulter la Nation et d'autre part les collectivités locales seraient incitées à organiser des référendums locaux sur des sujets de leur compétence.
cela faut quelques années que mes copains de démocratie active avait pensé à un truc du même genre.
Ecrit par
Guiraud
Libellés :
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démocratie
le
10/18/2006
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Ecrit par
Mehdi
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Laurent Fabius,
ségolène royal
le
10/17/2006
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Il reste un moyen pour peser sur la désisicion de Jospin: Ne pas voter le 16 et le 23 novembre 2006.S'abstenir c'est voter Jospin.Tous les jospinistes doivent relayer par tous les moyens cette information et atteindre le maximum de section socialistes. France et outremer.
Il ne semble pas y avoir de régles spécifiques ceoncernant les quorum au parti Socialistes ni de gestion des bulletins Blancs. Règle que semble vouloir proposer le projet socialiste avec la notion de vote obligatoire : en effet, dans les statuts seule.."La majorité absolue des suffrages exprimés est requise pour être déclaré élu(e) au premier tour". Donc pas de quorum.
Or cela ne me paraît pas dans le sens du projet socialiste qui a l'ambition de consulter les Français sur le "vote obligatoire" et comptabiliser les bulletins blancs ( certes, à part) . Comment croire un parti politique qui ne s'applique pas à lui-même des règ les qu'il souhaite pour la France entière. Je suis certain pourtant qu'il s'agit d'un oubli innocent. Encore faut-il rester attentif lorsque des messages tel que celui que j'ai mis en introduction fleurissent à l'approche de l'élection du candidat à la candidature présidentielle. D'autant que, plus que jamais la participation et la Démocratie doit être une idée à porter avec force. Allez, Mr Jospin, je suis sûr que vous pourrez faire avancer les choses au Parti Socialiste, en donnant un vrai signe de changement et d'engagement. Parce qu'au fond c'est bien de cela dont il s'agit.. non?