29 mars 2005

Les silences sont plus éloquents ?

Malheureusement vous ne trouverez plus dans les deniers sondages d'indication sur la particiapation depuis le dernier sondage d'Ipsos qui indiquait 51 % de NON, ,ous citoyens civiques ne pouvons plus nous estimer. Il se trouvennt pourtant que l'abstention serait intérréssannte à connaitre. En effet, en Esspagne 30% des abstentionniste avoue ne pas être aller voter par ignorance de constitution. Et même si Mr Le PRésident de la république invite les Français à "réfléchir". je me demande bien avec quels outils, du fait de quel explication ? La plupart des documents intérréssants sont en ventes et le reste, gratuit et distribué par des partisans , ne font que reprendre des positions manichéenne. A croire que les intelligents sont pauvres et les ignorants riches...
Je me permettrai d'expliquer aux deux catégories deux trois-petites choses ( qu'elles m'excusent de cette prétention), Messieurs les ignorants qui iront acheté le Duhamel ou le Fabius ou bien la constitution expliqué aux enfants ( décidément on vous a bien ciblé..), sachez que ces discours ne vous avanceront à rien. Il ne reprendront l'objetcif d'une constitution et que l'explication sur l'enjeu de l'europe vous permettra à peine de constater qu'il n'a pas changer depuis cinquante ans... et que finalement devant le bulletin oui , non vous hésiterez encore et que le bulletin blanc restera votre seule solution par dépit (et ceci malgré sa non-comptabilisation)...
Au moins riche... Jetez votre prospectus du NON ( ceux qui auront des "oui" me l'envoie surtout les oui UMP, j'en fais collections...) Les arguments sont déplacés: "Bolkestein" est certe toujours dans les bacs mais n'a jamais eu qu'un rapport lointain avec le traité. Le libéralisme a éxisté, éxiste et existera. Pareil pour l'immigration. La turquie est encore moins d'actualité que la directive-lois sus-citée... Bref de même que les riches vous serez devant votre oui, non et ce amlheureux bulletins blanc toujours pas reconnus.
Bref à la fin de l'histoire vous vous direz que l'abstention est la seule solution. Mais je vous mets en garde : le silence n'est pas bruyant... Et l'on ne vous entendera pas. Alors ALLEZ VOTEZ ! BLANC MAIS VOTEZ !

25 mars 2005

le NON se confirme ? 55% vs 45 %

Apparemment le CSA vient de faire passer un sondage qui sera publié demain dans marianne et qui avait été effectué alors que Jacques Chirac tentait de rattraper la directive dite "Bolkestein" à Bruxelles c'est à dire le mercredi 23 et 24 mars. Ce qui peut expliquer que le premier Ministre au vue de ce sondage qui semble, lui, être une confirmation des résultats, a cru bon d'intervenir à la télévision pendant la grande messe de TF1 . Mais que dit ce sondage au juste, d'une part les sondeurs ne souhaite toujours pas faire la différence en abstention et vote blanc et d'autre part l'abstention reste toujours stable à environ 50% de la population l'échantillon est par contre aussi petit que le précédent ( 856 ) . De plus quand exactement ont-ils fait le sondage avant, pendant ou aprés l'affaire bolkestein ? Enfin toute une floppée de question plus ou moins orientée ont été posée lors de ce sondage ... un florilège : pour les oui : "vous êtes pour l'Europe"," si une majorité de Français vote «non», l'influence de la France en Europe sera plus faible", "vous pensez que si le «non» l'emporte en France, cela entraînera une crise en Europe".
Et pour les non rescapés : "vous êtes opposé à l'entrée de la Turquie","ce traité ne vous convient pas et vous souhaitez qu'on le renégocie","vous voulez faire part de votre mécontentement à l'égard du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin et à Jacques Chirac" et le plus beau de tous : "vous êtes contre l'Europe".
Mesdames et messieurs les citoyens-lapins, vous êtes chassés en plein champ et je vous souhaite bien du courage pour en réchaper ...

Et avant d'en finir avec ce sondage on voit aussi deux questions qui trés clairement aurait pu en faire qu'une :
"vous pensez que si le «non» est majoritaire, cela entraînera une réorientation des politiques européennes dans un sens plus social" et "ce traité ne vous convient pas et vous souhaitez qu'on le renégocie." Le score dans le sondage obtient respectivement 29 et 26 montre que la population souhaite majoritairement modifier ce traité. Ce qui manque à ce sondage c'est de savoir si les sondés se sentent suffisement informés ou non ..
Ces résultats sont étonnant, j'avoue que je ne m'attendais pas à un tel résultat j'étais resté sur l'idée de cet autre question : "Au fond de vous souhaitez-vous que le « oui » ou que le « non » l'emporte en France ?" à laquelle une majorité relative des citoyens répondent oui (37 %). à regarder ces sondages depuis deux-trois mois on voit bien que l'évolution du mécontentement des français qui va avec les grêves et les manifestations a un effet sur le score du non. A croire que les citoyens utilisent les sondeurs pour faire passer un message, une sorte de chantage affectif. L'inquiétude va redoubler dans le camp du oui. Le Week-end aurait pu être tranquille ... Pour moi il le sera ... Bon WE à tous.

Mr Raffarin a propos du Vote Blanc le 7 février 2001


"En ce qui concerne le vote
blanc, je reviens au débat que nous avons eu hier soir et qui s'est clos avec l'intervention talentueuse de notre ami le président Arthuis. Celui-ci a repris une expression que j'avais moi-même employée, ainsi que M. de Broissia, en disant qu'il ne fallait pas opposer la République d'en haut et la République d'en bas.
Bien sûr, quand on a, comme notre collègue, occupé Bercy, il ne faut pas opposer le haut et le bas : ce ne serait pas bon pour le haut. (Rires sur les travées des Républicains et Indépendants et du RPR.)
Nous ne voulons surtout pas opposer les deux Républiques. Ce que nous voulons dire, c'est que, dans la République, l'énergie et l'influence peuvent partir aussi bien d'en bas que d'en haut. C'est la même République ! C'est à la fois une République attentive à son terrain et à son citoyen et une République susceptible de donner des instructions, des directives.
Par conséquent, ce qui m'importe dans cette affaire de vote
blanc, c'est la responsabilité du citoyen et, de ce point de vue, je serais assez défavorable à cet amendement. En effet, pour ceux qui défendent l'humanisme libéral, par opposition à ceux qui se réclament du matérialisme déterministe, au fondement de tout, il y a le libre arbitre, ce qui signifie pour le citoyen la faculté de faire ses choix. Pour nous qui ne suivons ni M. Freud avec son inconscient, ni M. Marx avec ses classes sociales, ni le biologisme avec l'équation génétique, nous sommes libres, rien ne nous prédestine. C'est cette liberté qui fonde notre confiance en l'homme. Cela suppose à la fois le libre choix et l'engagement.
Je ne souhaite donc pas que, dans notre démocratie, on encourage le non-engagement, le silence, le refus de prendre position.
D'un point de vue théorique, le camp des humanistes libéraux doit faire, contre celui des matérialistes déterministes, le choix du libre arbitre, c'est-à-dire de l'engagement du citoyen. Dès lors, nous devons l'inciter à prendre position plutôt qu'à se dérober. C'est en prenant une décision qu'il crée son propre avenir et qu'il trouve ainsi sa dignité. (Très bien ! et applaudissements sur les travées du RPR et des Républicains et Indépendants.)"

Cet argument est le principal argument anti-Vote Blanc, comme à chaque fois la même erreur est commise : considéré au départ le vote blanc comme un acte sans conséquences, sans sens sans objectif et puis s'appuyer sur cette même conception pour affirmer que cela ne sert à rien. Pourtant en comptabilisant les votes blancs, on change l'équilibre électoral, l'enjeu n'est plus seulement d'être le premier mais aussi d'être le plus mobilisateur, ce qui n'est pas exactement la même chose. C'est une stratégie "gagnant-gagnant". La mobilisation pour une décision est ce qu'il y a de plus important pour une démocratie et pour un pays qui as besoin d'être gouverné et pour lesquels les décideurs ont besoin de recouvrer une légitimité non négligeable.

"Je serais responsable de la campagne d'explication"

On ne peut qu'être satisfait de cette prise de position. On était effectivement en droit d'attendre de premier ministre une vrai campagne de civisme. On peut se demander par contre si le fait que le premier ministre s'y implique personnellement n'est pas plutôt un indicateur de la faiblesse du tissu politique. De fait, mr le Premier Ministre prend des risques. Il souhaitent que le "oui" ne soit pas un oui à Hollande ou à Raffarin mais un "oui" à l'europe. Si les sondages disaient vrai, ces messieurs ne se seraint pas permis pareil discours. Avec des score de popularité aussi faible, il est certain que ce n'est pas pour eux que les citoyens votent. Ce qui est d'ailleurs inquiétant puisque Mr Jean-pierre semble s'intérresser aux mauvais sondages ( dans tous le sens du terme), Le sondage anonçant une fablesse du "oui" n'est pas fiable. Pourquoi dans ce cas ne pas se sacrifier pour laisser les partis faire leur travail de terrain. Il s'agit effectivement d'une "campagne d'explication" dont la France à besoin mais je voudrai que l'on m'explique comment on échange du haut d'une tribune ?

24 mars 2005

Jacque Barrot coincé par ses engagements

Mr Jacques Barrot est co-signataire d'une Proposition de loi modifiant le code électoral en vue de la reconnaissance du vote blanc aux élections proposée par Mr thierry Mariani le 24 septembre 2002, autrement dit au lendemain du "21 avril". Les députés à cette époque se sont senti concernés par les derniéres élections. et Mr barrot devait aussi se sentir sur la même longueur d'onde par la proposition de loi de mr Mariani lorsque celui-ci disait dans son argumentaire : "- Face à une absence d'écoute, l'électeur peut, au contraire, être tenté par un vote de mécontentement. Ne trouvant pas de réponse dans les propositions des partis traditionnels, nos compatriotes pourraient se réfugier dans un vote de protestation au travers de positions extrémistes éloignées des valeurs républicaines."
Mais celui-ci répond :"Mieux vaut, pendant la campagne référendaire, éviter d'ouvrir des débats trop conflictuels qui pourraient mettre le feu aux poudres."

Les papiers ont disent plus longs que les mots et pas assez sur les maux

Un jeu de vilain s'organise pour faire de chirac le sauveur de la situation quelques journaux de gauche ( Qu'on ne peut,donc , accuser d'être partisan) font une campagne où l'information est à la limite de la désinformation, par exemple pour le courrier international ,Chirac aurait fait annuler le projet de directive et pour Libération qui reprend Hollande, «cela fait un argument de moins pour les tenants du non mais surtout cela permet de rassurer les Européens sur la capacité qu'a l'Europe et qu'aura d'autant plus l'Europe avec la Constitution européenne de décider elle-même de son propre avenir». France soir dans un article de reuters re prend le syndicaliste François Chérèque: "qu'on ne fasse pas l'amalgame" entre la directive Bolkestein sur la libéralisation des services, dont Jacques Chirac a demandé et obtenu une refonte complète, et le référendum du 29 mai. Et enfin Le Parisien qui juge que : Chirac fait plier Bruxelles ,"Le risque de voir le non l'emporter le 29 mai en France a amené les Vingt-Cinq à dépasser l'exaspération que leur inspirent la France et un président jugé très... à gauche, et à multiplier les concessions. C'est l'union sacrée pour sauver le oui". Bien entendu à l'UMP, Jean-Louis Debré, le président de l'Assemblée nationale a estimé que l'affaire était «réglée» et que le débat européen était «débarrassé» de cette directive.
On ne peut se tromper sur l'opinion que Mr le président de la République se fait sur les français. Ils ne sauraient pas utiliser l'outil référendaire, "Cela suppose - et c'est toute une culture qui est un peu remise en cause - que, lorsqu'on fait un référendum, on ne veuille pas répondre à des questions différentes de celle qui est posée", a-t-il prévenu, sur fond de mécontentement à l'encontre du gouvernement et de grogne sociale.
L'affaire est donc pliée il ne reste plus qu'aux français "inapte" à croire un Président un tout petit peu manipulateur à voter un "OUI" sans aucunes espèces d'explications. Et surtout ne pas oublier les français, qui, faute d'avoir des idées sont surtout les plus forts en ... "gueule".
Ce qui est surprenant c'est que lors de cette "pré-campagne" anti-non, Pas une seule seconde, pas un seul média ne s'est posé de questions sur ces deux sondages ... Peu, ont décidé de prendre du recul sur ces derniers événements. Le sommet de printemps succédant à la renégociation du pacte, n'a permis à personne de se poser la question des "autres", de la Démocratie. Peu, voire aucun, ont émis l'hypothése que la France aussi grande soit-elle ne peut pas se permettre de décider pour les autres. Plus que jamais les médias français impose au français une vision chauviniste de notre pays-centre-du-Monde. Mais tout cela n'est pas une fatalité. Il faudrait que l'on retire du débat le mécontentement en le mettant dans les urnes sous forme de bulletins blancs c'est tout...

L'élection santionne le sortant

Dit Mr Bernard Debré (cultures et dépendances), descendant d'une longue famille de politique. Aujourd'hui en l'absence de réel politique de fond et d'idéal sociétal et démocratique. Le citoyen, en attendant mieux, ne peut que sanctionner le candidat sortant.

23 mars 2005

Lettre au Premier Ministre

Monsieur le premier Ministre,

Simple citoyen militant d'une association pour la reconnaissance du vote blanc (Parti Blanc), je ressens les difficultés actuelles dû à la montée du NON pour la ratification du Traité pour une Constitution pour l'Europe. Aujourd'hui, La montée du non vient d'une gauche qui s'est organisée pour faire valoir cette position et qui semble avoir à la fois réfléchie et informée pour conforter et motiver ce vote. Ceci malgré le sentiment diffus d'une population que je ressens profondément inquiète d'un non pour les mauvaise raisons. En effet des raisons diffuses mélant à la fois les affaires de corruptions, une certaine insécurité sociale et une inquiétude quant à leur propre avenir, font de ce vote un enjeu national. Cela n'est pas acceptable ! Vous serez d'accord avec moi pour considérer la difficulté à lutter face à des politiciens qui utilisent et manipulent la population pour en faire ressortir une certaine confrontation électoral qui fera perdre à la france son avancée et son caractère européen. En considération de cela, je vous demanderai de bien vouloir prendre en considération le vote blanc. Je vous sait, avec Mr le Président de la république, opposé à cet modification du scrutin, néanmoins en considérant la situation actuelle, et afin de donner à la population un moyen de canaliser leur message, la prise en considération d'un vote blanc séparé du vote nul comme en Espagne permettra de faire comprendre au français qu'il ne faut pas se tromper de question. Cela permettras, aussi, de donner un signe salvateur et fort de démocratie . Pour cela une proposition de loi adotée par l'Assemblée Nationale le 30 janvier 2003 qui semble ne pas avoir été entendu au palais du Luxembourg, serait un bon moyen de concrétiser cette démarche fort peu coûteuse (40 K€/élection). Un débat publique sur cette thématique permettras d'en faire la publicité nécéssaire et génerera l'information qui en falicitera, d'autant, le chemin vers les urnes et ainsi plaidera à la fois pour une france symbole de démocratie, symbole de débats et symbole de politiques ayant une volonté sincère de proximité avec la population.
Je me tiens à votre disposition si vous considérez que les informations et les motivations apportées ne sont pas suffisantes. Je vous prie de croire, Monsieur, Le Premier ministre, à mon plus sincère dévouenment envers la France.

Mr Guiraud
Président du Club de Paris du Parti Blanc

Nous , on est les plus fort !! ...en gueule

Les français sont décidément les plus forts et notre cher président en tête. Il a réussi à ... euh déplacer le vote de la directive à une date ultérieure.Voilà donc la directive dite "Bolkestein" est écarté du référendum et de son enjeu. Le premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, président en exercice de l'Union déclares que "Des modifications seront apportées" et, argumente-t-il,"S'il est possible de trouver un consensus sur la réforme du pacte de stabilité, il est sans doute aussi possible de trouver un consensus sur les lignes générales de la libéralisation des services". Mais surtout, loin des yeux, loin des coeurs et surtout loin du référendum. José Manuel Durao Barroso ajoute certain de son affaire, que les inquiétudes seront prises en compte. Ce qui m'inquiète, moi, simple citoyen, c'est qu'il ait fallu un référendum en balance dans un pays fondateur pour que la démocratie s'exprime.
Pendant que le oui de chirac joue les ni-ni ( ni plébscite ni l'alternance ) pour conjurer le sort d'un 21 avril Jean-pierre Raffarin relance la Participation, pour démontrer que l'état est capable de donner de l'argent. Sauf que l'erreur est récurrente depuis le 21 avril et la surdité de l'éxécutif français a une sérieuse tendance a énerver les français. De cet irresponsable surdité vient l'echec réccurant de l'état à convaincre sur l'intérêt des avancées qu'il propose y compris européennes.

22 mars 2005

Au forum du PS

Si un projet est un projet pour tous il faut que celui-ci donne la place à l'indécision à l'incertitude. C'est là à ces frontiéres que ce négocie l'avenir d'un peuple, là ou le politique est rappelé à l'ordre, rappelé à la source de son pouvoir, là où s'exprime l'inexprimable. Le Le Vote blanc comptabilisé est à mon sens un moyen de responsabiliser le citoyen et le politique, Le citoyen puisque son engagement devient actif. Car, tacitement il se dit à la fois civique, actif et refusant une proposition. son engagement est plus complexe, mais il se négocie. IL est l'objet d'un questionnement donc il a pour objectif une réponse. Cette réponse qu'il attend et négocie avec le politique est le coeur d'une démocratie participative. La réponse négocié et accepté de part et d'autres en fait pour le politique une force nouvelle. Car de cette responsabilté prise par le citoyen il émerge une obligation de réponse , et donc de moyens. Le politique s'en trouve responsabilisé par cet obligation.
Il reste que mettre en place le vote obligatoire, signifierai que la réponse n'est obligatoire. En effet les raisons d'un vote blanc étant vascillant, il se renégocie à chaque nouveaux rendez-vous. A quoi bon le renégocié si il éxiste de toute manière, s'il n'y a pas d'enjeu à le réduire ? c'est un contrat "win-win". Par ailleurs ce serait évidemment déresponsabilser le citoyen que le forcer à voter.

Donc je vous propose de mettre dans votre projet le vote blanc sans vote obligatoire.

Cordialement.
posté sur le forum du PS

21 mars 2005

nos politiques seraient incompétents...

Baroso comprend mal l'incompréhension française... et se plaint de l'incapacité des politiciens à expliquer que bolkenstein n'a rien à voir avec la constitution... c'est bizarre ça les autres trouve nos politiques mauvais .... et même une parlemantaire européenne de dire :" they fail to live up to their "enormous responsibility" by not sufficiently talking the truth". "Ils ne peuvent être en accord avec leur responsabilité en ne disant pas assez la vérité". Donc en gros les Fabius, Hollande, Raffarin, Bayrou, Sarkozy ( le grand ), et tout le toutim c'est des incapables.... en fait je ris jaune....

Qui veut mon "NON" pas cher ! 12% de réduc en un mois ... !

Comme je le disais dans cet article. Je ne crois pas à ces sondages, à mon sens il sont fait pour manipuler. Cela ne correspond à aucune évolution logique . Les sondeurs le disent et avouent que ces chiffres sont à prendre avec des pincettes vu le faible nombre de sondés (804). Mais le plus dommage c'est qu'il faut vraiment chercher la prévision de participation avec persévérance. Et l'on découvre que si la mobilisation est de plus en plus grande, la participation reste en dessous de 50%. Le message de frayeur s'étaye et même le président de l'UDF fait appel à l'intervention de Chirac voire même à une campagne en partenariat avec Hollande. La controverse étant en place, le public ne va pas "du tout" se sentir manipulé. D'autant que les alertes à la corruption et les glissements sur le racisme, l'islam ou la violence vont persuader les indécis que la France est un pays rétrograde... ("en plus ma bonne dame avec tous ces gens qui veulent pas l'europe" ). Aux indécis, je dirai : dites que vous allez voter mais blanc, et peut - être que l'on va vous motiver en vous expliquant un peu plus. Ces faux-débat sont de la perte de temps; par exemple cet ineptie du ministre de l'intérieur qui crée sa fondation pour l'islam ( allant complétement contre les messages de laicité du Président de la république et surtout contre la loi de 1905) et de ce fait va créer une mobilisation des anti-turques. A moins que ... à moins que cette création soit rejeté par le conseil constitutionnel ( qui est garante du bon respect des lois ) ... et dans ce cas il ne restera plus aucune raison aux "négationnistes" pardon , aux anti-turques , de voter non. Cela restera toutjours dans l'apparence mais permettras de récupérer dix points en faveur du oui à droite. Ceci les électeurs ne seront pas plus avancés sur le traité.
Il est toutefois nécéssaire de rappeler que l'entrée de la turquie ne fait pas partie de ce débat tout comme la présence musulmane en Europe. Cette présence musulmane en Europe est évalué à 3 % . Ce chiffre est sujet à caution puisque les déclarations personnelle de religions ne sont pas autorisé, notemment en france. L'arrivée de la turquie avec 71 millions d'habitans ne risque pas de changer la donne. Bref le vrai sujet reste encore la participation à moins de 50 % qui n'évolue pas et risque d'être un bien mauvais exemple pour les pays telle que la palestine, l'irak ou même l'afghanistan qui ont su, eux, montrer qu'il y a une différence entre choix de politiques et démocratie.

20 mars 2005

L'argent de l'europe à la rescousse des mauvais politiciens.

On pourrait plutôt dire l'argent de l'administration européenne, viendrait à la rescousse pour mieux informer les citoyens français. Malheureusement la logique reste la même qu'en france et c'est l'argent donné au entreprises de communication qui semble être à la hauteur de politiciens inapte à tout travail de terrain. Cela révèle beaucoup de choses : L'europe, indéniablement à tendance libérale, ne sais plus faire le 1 + 1 inérant à l'action civique et politique.

Par ailleurs l'article confirme qu'en espagne l'abstention était aussi une marque de défiance vis à vis de la constitution. Puisque 30 % d'abstentionniste ont boudé les urnes parcequ'il n'était pas "assez informé" , jusque là nous sommes d'accord. Mais faut - il que l'europe soit une fois de plus la vache à lait de politiques débiles ?

18 mars 2005

Hollande considérerait le référendum sous un oeil différent

Comme je l'ai écrit hier à propos du sondage du CSA, ces valeurs sont peu significatives compte tenu de la marge d'erreur. Pour contrer le CSA , IPSOS répond dans cet article pourquoi de toute manière rien n'est joué et qu'il ne faut pas avoir peur et que tout va bien se passer ... Messieurs les sondeurs, le peuple est-il aussi prévisible avec 53 % d'électeurs qui ne se sont pas encore décidé. Dans leur propos , la participation de l'époque ne saurait être la même puisque la controverse n'éxiste pas. En effet selon les dires de cet article à l'époque un certain "eurofatalisme" n'éxistait pas, alors qu'aujourd'hui l'euro étant dans les poches (mais pas dans les têtes, il est bon de le rappeler ).

Hollande déclare aussi que :
"la participation
, très élevée en 1992 et qui a certainement joué en faveur du "oui", notamment dans l'électorat âgé (en souvenir de la paix, de la démocratie, cf. effondrement du mur de Berlin), et la proximité des législatives de 1993, qui permettaient de dissocier le référendum des problématiques de sanction politique, à venir 6 mois plus tard."

Cela signifie t'il qu'une démission de Chirac dégagerait le terrain pour le OUI.... Moi j'ai rien dit hein !!

Cela n'empèche pas l'article de finir sous ces termes :"Pierre Giacometti conclue cette première partie en rappelant que le solde du "oui" à la construction européenne s'est consolidé et structuré ces 15 dernières années, mais que subsistent parallèlement un certain nombre d'indices de crise, d'interrogations et d'inquiétudes, qui équilibrent les débats. Plus qu'une mesure du rapport de force, l'enquête d'intentions de vote Ipsos-Le Figaro permet alors de mieux cibler les motivations de l'électorat, et le sens que donneront les électeurs au scrutin du 29 mai prochain". Ben oui madame c'est chez que nos citoyens ils sont les meilleurs , Chez nous on sait donc rien à craindre... C'est sans aucun doute ainsi que le discours sera mené pendant le Week-end. Aprés l'électrochoc du CSA. Sarkozy hésite à faire la campagne du PS et les appels au président semblent se faire plus préssant. JAAAAAAACQUES revient !!!

17 mars 2005

La vrai-fausse montée du non dans les sondages

Il faut savoir quelque fois prendre du recul sur le sondages, ça on le savait. Et lorsque les sondeurs vous disent, pour vous rassurer, que les sondages expriment des rapport de forces. Jusque là nous sommes tous d'accord. Mais la question que nous sommes en droit de nous poser c'est de savoir si les rapports de force ne permettent pas de manipuler l'opinion voyiez l'évolution du non : lente mais plutôt stable jusqu'a ce dernier sondage du CSA :
Début février Le 5 mars, IFOP donnait 61% pour le "oui", puis courant février une enquête BVA donnait le OUI à 58% .Le 5 mars, IFOP donnait 58% pour le "oui", le 12 mars, une enquête BVA donnait le OUI à 56%
Lors d'une enquète en début de semaine la TNS-Sofres pour LCI, RTL et «Le Monde» les Français se prononçaient pour le «oui» à 56%, le «non» récoltant 44%.
Le CSA annonce 51% pour le non contre 49 % pour le oui (16/03-17/03) alors qu'un mois auparavant elle annonçait 60/40 en faveur du oui ( enquête du 2-3 février ). Une variation jamais vu jusque là en un mois seulement. Cela ressemble plus à un formidable coup de pub. d'autant que nous sommes typiquement dans la marge d'erreur des sondages. Effectivement comme je le disais plus haut les médias sont plus sensibles aux éclats qu'à la réalité. Il est fort probable que le non soit annoncé à une valeur plus proche de 46-48 d'ici un mois environ et que le oui remonte symétriquement. Mais demain ce ne sera probablement pas à cause d'une manipulation des chiffres car l'effet du non aura effrayé les électeurs et un début de revirement se fera sans doute sentir. Cela sera t'il suffisant ? Nous nous trouvons donc au début d'une campagne médiatique qui nous laisseras un goût de tromperie. Et pendant ce temps depuis prés de cinq mois les promesses d'abstentions sont, elles, assez constantes à plus de 55% et ne font pas les titres de grands journaux. Mesdames et messieurs regardez le cirque passer et pendant ce temps le temps passe et la démocratie s'effrite...

La derniére campagne du PS ?

le ps va s'entre-tuer pour avoir droit au temps de parole et au financement des partis politiques pour la campagne référendaire . Et Mélenchon qui brave les consignes et s'affiche avec le PC et Fabius qui réaffirme son NON et Emmanuelli qui réaffirme une position qu'il a tout de même du mal tenir sans se faire du mal. Mais comment François Hollande va t'il faire pour garder un semblant de sens à ce parti socialiste ?
Un appel à Jospin ne va pas manquer de faire du bruit et risque du coup de faire plus de mal encore aux socialistes de base ( puisque cela démontrera que les politiques n'ont pas de paroles) . Vraiment là je ne sais pas comment les socialistes vont se sortir de ce guet-apens tendu avec bonheur le chateau qui doit résonner de rires bruyants. Et à chaque remarques de l'un ou de l'autre c'est un redoublement de rires qui doit leur répondre. Vraiment Tonton doit faire des bonds dans son caveau... Comme à chaque fois l'électeur se trouve démunie et cherchera en vain la démocratie le 29 Mai.

Financement public pour la campagne du référendum du 29 mai

17/03/2005 17h00
PARIS (Reuters) - Pour la première fois dans l'histoire de la Ve République, une campagne référendaire - en l'occurrence celle du scrutin du 29 mai sur la Constitution européenne - bénéficiera d'un financement public.

"Le président de la République a souhaité que les organisations politiques représentatives bénéficient d'une aide de l'Etat pour leur donner les moyens de participer effectivement à ce grand débat national et de présenter leurs arguments aux Français", a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, à l'issue du conseil des ministres.

Les responsables des partis représentés au Parlement, que Jacques Chirac avait reçus à l'Elysée début mars, avaient tous demandé un financement public pour la campagne, notamment pour garantir l'équité entre partisans du "oui" et avocats du "non" au traité constitutionnel européen.

Un décret présenté au conseil par le ministre de l'Intérieur, Dominique de Villepin, prévoit le remboursement, dans la limite de 800.000 euros, de dépenses qui sont limitativement énumérées, à savoir l'affichage sur les panneaux municipaux, l'impression et la diffusion des documents et l'organisation de réunions publiques.

Ces remboursements seront contrôlés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques.

Le décret reprend par ailleurs les règles posées à l'occasion des précédents référendums pour être admis à participer à la campagne.

Les partis ou groupements politiques devront remplir l'une des deux conditions suivantes:

- soit avoir obtenu le rattachement d'au moins cinq députés ou cinq sénateurs en vue de l'attribution de la seconde fraction de l'aide publique aux partis prévue par la loi du 11 mars 1988 relative à la transparence financière de la vie politique;

- soit avoir obtenu au moins 5% des suffrages exprimés au plan national lors de l'élection des représentants français au Parlement européen le 13 juin 2004.

TROIS EUROS PAR ELECTEUR

Au ministère de l'Intérieur, on a précisé que huit partis au total répondaient aux deux critères.

L'UMP, le Parti socialiste, le Parti radical de gauche, l'UDF, le Parti communiste et le RPF de Charles Pasqua - qui compte cinq députés - répondent au premier critère.

Le Front national, les Verts et le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers répondent au second critère.

Ces organisations politiques bénéficieront d'un temps d'antenne dans les émissions des sociétés nationales de programmes de 140 minutes d'émission télévisée et de 140 minutes d'émission radiodiffusée.

Un deuxième décret présenté jeudi par Dominique de Villepin arrête les règles relatives à l'organisation du scrutin, qui sera clos à 20h00 le dimanche 29 mai. Mais l'heure d'ouverture du scrutin pourra être anticipée et celle de clôture pourra être retardée, au plus tard jusqu'à 22h00.

Paul Masseron, préfet et secrétaire général adjoint du ministère de l'Intérieur, a précisé que les décrets seraient publiés "très rapidement" au Journal officiel.

Pour permettre aux quelque 42 millions d'électeurs de se prononcer en toute connaissance de cause, chacun recevra le texte de la question posée, le décret soumettant le projet de loi au référendum, le projet de loi autorisant la ratification du traité constitutionnel, le texte intégral de la Constitution européenne et deux bulletins de vote ("oui" et "non").

L'enveloppe pèsera 283 grammes.

Le coût total de la campagne est estimé "aux alentours de 3 euros par électeur".

La date limite pour le dépôt des demandes de participation à la campagne officielle est fixée au 29 mars. La campagne débutera le 16 mai à 00h00 et s'achèvera le samedi 28 mai à minuit (27 mai à minuit pour les électeurs de Saint-Pierre et Miquelon, Guadeloupe, Martinique, Guyane, Polynésie française et ceux inscrits dans les centres de vote du continent américain, qui votent le 28 mai).

"Tant qu'a voter non autant ne pas voter"

Horreur ! et pourtant je l'ai entendu. Mais alors que faire d'un "Oui" lorsque celui-ci représente une partie ridicule de la population et, pire Que faire d'un "Non" s'il représente 10% de la population. Une participation faible semble satisfaire les partisans du Traité. Il ne reste plus qu'à laisser trainer les choses, à rendre les débats de société les plus inaudibles possibles, à dire et redire que c'est décidément trop compliqué trop long, trop inaccessible à nous autres pauvres citoyens. Il ne reste plus qu'à continuer à déposséder les citoyens de leur démocratie et à dire que c'est la faute au politiques, à l'état, qu'il faut se dépécher de rendre le plus faible possible. L'enjeu des médias semble être de vouloir amplifier les désunions donner du crédit aux désengagements. La télévision spectacle a donc envahi les journaux et l'inforamtion. µLa presse aussi fondamentale soit-elle pour la démocratie est aujourd'hui prisonniére des enjeux capitalistes, et doit se conformer à cette rêgle : entre l'extraordinaire exception et la banalité, il faut choisir l'exceptionnel parce que la lumière attire l'oeil. Il faut profiter de l'attrait de cette éclat même si cela n'a aucun intérêt pour le comun des mortels. Même si cela rend l'engagement politique quotidien ridicule, même si c'est la démocratie qui perd et les citoyens avec....
Alors évidemment il ne reste plus au citoyen qu'a rester chez lui. Son acte de civisme étant d'une banalité quotidienne. Et surtout lorsque son discours peut être associée aux vomi de Mr
Emmanuelli , alors plutôt qu'à dire ce qu'on pense,"vu ce qu'une élection pèse aujourd'hui", autant ne pas voter. Et pourtant qu'allons nous faire de cet aprés référendum si il représente une faible partie de la population. Que va faire ce citoyen lorsqu'une décision européenne sera prise et qu'elle signifiera une guerre ou le soutien à un état despote. que fairons ceux-ci quand par ennui on lui diras que la démocratie doit être défendu dans tel ou tel pays. Que se dira-t-il lorsque, au chomâge, on lui expliquera que c'est le seul moyen de consolider la croissance., voir de la créer et peut-être même de l'accélérer....
Vraiment je préfère vivre entouré de citoyens motivés plutôt que dans union aux membres apathique. Assez ! Assez de faire croire que la démocratie est installé et que , comme ça, sans rien faire tout va bien aller . Mais pour paraphraser le film "la Haine" : ce qui fait mal ce n'est la chûte , c'est l'atterrissage" !!

l'élection de Sarkozy: Un plébiscite

Certes l'abstentions était de 60%, mais trés sincérement qui a entendu parler de la candidature de l'ex-ministre des finances ? 41,4 % de votants, c'est peu mais cela représente une plutôt bonne participation pour une élection partielle sans enjeux, mais logique compte-tenu du candidat. En comparant avec les précédent résultats, on a pu voir que la précédente élection étant provoqué par la démission de Mr de villiers ( élu au parlement européen ) avait eu le même score à peu de choses prés avec une participation comparable (37%) . On remarquera que l'élection du remplaçant d'Alain Juppé n'a pas eu les mêmes aspects et a plutôt consacré, même si cela n'a pas changé les couleurs politiques de la circonscription, une montée de la gauche. Pour en revenir à l'élection de Mr Sarkozy, il est a noter, aussi, que son élection a vu la baisse de l'extrême-droite. Son travail de terrain et ces différentes décisions lorsqu'il était Place Beauvau ont permis aux adeptes de la sécurité de se sentir plus proche du candidat de droite. Bref, quand les politiques sont actifs; cela se concrétise par une belle participation et une adhésion des citoyens. On ne peut que applaudir cela.

13 mars 2005

Le silence de copé et "de Robien"

Pas de réponses, pas de réactions de jean françois copé, qui aurait menti à plusieurs reprises sur ces logements . Aujourd'hui, pendant la diffusion de l'émission" ripostes". "Quand il n'y a pas de régles il faut en créer"... dit-il, Il ne fait pas de différence entre acharnement et transparence. confronté au questions du journaliste. La limite selon lui n'est pas définis ( à son avantage..) Il est obligé de se positionner, et son discours est "d'assumer". Et sa souffrance d'être mis en parallèle avec le situation de dominique baudis. Et christophe barbier de renchérir . Mais Mr le ministre dévie en placant le discours sur le point de vue de l'acharnement et noircit le tableau pour pouvoir s'en sortir. Le député UDF tente de l'aider en disant que tant d'élu sont honnètes... maladroit ou empoisonné ? à voir. Et finalement quand le débat continue et qu'Elisabeth Guigou souhaite continuer dans la même veine , et cela car Le ministre du budget n'a toujours pas répondu ni "assumé" Le journaliste ne peut s'empécher de déclarer : "pas la peine d'épiloguer à propos des choses "qui ne se font pas" et finalement le débat de se finir sur un brouhaha informe dans le quel les questions reste sans réponse.

A propos de De Robien dans l'interview du "grand jury" selon lui l'europe à rôle dans le monde et la France par son prestige a un enjeu capital. et l'europe permettra de lutter contre les extrêmes et particulièrement l'ultra-libéralisme, c'est étonnant. "S'il y a non pour l'europe, c'est une catastrophe c'est l'avenir du monde qui se joue...." troublant la journaliste . Mais c'est un ministre qui donne de la fierté à sa nation et vraiment s'il pouvait s'aligner.

Messages les plus consultés