23 mars 2005

Lettre au Premier Ministre

Monsieur le premier Ministre,

Simple citoyen militant d'une association pour la reconnaissance du vote blanc (Parti Blanc), je ressens les difficultés actuelles dû à la montée du NON pour la ratification du Traité pour une Constitution pour l'Europe. Aujourd'hui, La montée du non vient d'une gauche qui s'est organisée pour faire valoir cette position et qui semble avoir à la fois réfléchie et informée pour conforter et motiver ce vote. Ceci malgré le sentiment diffus d'une population que je ressens profondément inquiète d'un non pour les mauvaise raisons. En effet des raisons diffuses mélant à la fois les affaires de corruptions, une certaine insécurité sociale et une inquiétude quant à leur propre avenir, font de ce vote un enjeu national. Cela n'est pas acceptable ! Vous serez d'accord avec moi pour considérer la difficulté à lutter face à des politiciens qui utilisent et manipulent la population pour en faire ressortir une certaine confrontation électoral qui fera perdre à la france son avancée et son caractère européen. En considération de cela, je vous demanderai de bien vouloir prendre en considération le vote blanc. Je vous sait, avec Mr le Président de la république, opposé à cet modification du scrutin, néanmoins en considérant la situation actuelle, et afin de donner à la population un moyen de canaliser leur message, la prise en considération d'un vote blanc séparé du vote nul comme en Espagne permettra de faire comprendre au français qu'il ne faut pas se tromper de question. Cela permettras, aussi, de donner un signe salvateur et fort de démocratie . Pour cela une proposition de loi adotée par l'Assemblée Nationale le 30 janvier 2003 qui semble ne pas avoir été entendu au palais du Luxembourg, serait un bon moyen de concrétiser cette démarche fort peu coûteuse (40 K€/élection). Un débat publique sur cette thématique permettras d'en faire la publicité nécéssaire et génerera l'information qui en falicitera, d'autant, le chemin vers les urnes et ainsi plaidera à la fois pour une france symbole de démocratie, symbole de débats et symbole de politiques ayant une volonté sincère de proximité avec la population.
Je me tiens à votre disposition si vous considérez que les informations et les motivations apportées ne sont pas suffisantes. Je vous prie de croire, Monsieur, Le Premier ministre, à mon plus sincère dévouenment envers la France.

Mr Guiraud
Président du Club de Paris du Parti Blanc

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Messages les plus consultés