TV7 Bordeaux: Xavier Forsans candidat blanc à Bordeaux
Xavier Forsans
Vidéo envoyée par partiblanc
Seule la sincérité du scrutin peut préserver notre République une et indivisible
Comptabiliser les bulletins blancs parmi les suffrages exprimés permettra de refonder notre démocratie sur la base d'un geste électoral à nouveau partagé par tous : le vote.
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Mehdi
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5/24/2007
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Aujourd'hui lorsqu'un électeur se déplace pour aller voter blanc, démarche manifestement délibérée et indéniablement civique, il ne peut exprimer le fait qu'aucun candidat ne remporte son adhésion. Le vote blanc, n'est en effet pas comptabilisé dans les suffrages exprimés. Légalement il a autant de conséquences qu'une abstention.
Quoiqu'il arrive dans les bureaux de vote traditionnel aucun bulletin blanc n'est mis à disposition de l'électeur, seuls ceux équipés de machine à voter permettent l'enregistrement de ce vote.
Aussi, le Parti Blanc, militant de la prise en compte de ces votes, propose des candidats depuis les élections de 2001 sous l'impulsion de son fondateur Blaise Hersent-Lechatreux. La première élection Municipale à CAEN a vu la liste « Bulletin blanc mais reconnu » obtenir un résultat de plus de 8% de suffrages exprimés. Cela a permis de démontrer que ce vote devait avoir le même score électoral qu'un vote pour un candidat traditionnel tant la volonté de cette expression est grande. Une expression demandée par une majorité de Français* sera donc représentée par six candidats à travers la France sous l'étiquette Parti Blanc (Divers) :
Géraldine GRÜN-NEVERS à Strasbourg( 67) – 2ème Circ., 30 ans suppléée par Elisabeth Sorensen. ( Media:Strasbourg@partiblan
Carole HERSENT-LECHATREUX à Caen (14) – 1ère Circ., 34 ans suppléée par Angéline Bailleul. ( Media: Caen@partiblanc.fr )
Marie-Laurence GAILLOT à Toulouse (31) – 4ème Circ., 35 ans supplée par Karima Tamacha. ( Media : david.baz@partiblanc.fr)
Mehdi GUIRAUD à Paris (75) – 16ème Circ., 31 ans suppléé par Germain Suignard. ( Media : paris@partiblanc.fr )
Xavier FORSANS à Bordeaux (33) 3ème Circ., 40 ans suppléée par Catherine FORSANS-MESMACQUES. ( Media : bordeaux@partiblanc.fr )
Alain ASSOUAD à Marseille (13) 2ème Circ., 58 ans suppléée par Marielle Winteler. ( Media: marseille@partiblanc.fr )
Plus d'information sur http://Legislatives.partiblanc
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Mehdi
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5/23/2007
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5/23/2007
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L'expulsion de Jean-Marie Colombani fait suite à de nombreuses erreurs et décisions industrielles qui vise la croissance économique plus que la l'amélioration de la qualité. La société des rédacteurs sanctionne donc bien cela.
Le remplacant, nommé par Alain Minc ( proche de Nicolas Sarkozy ) sera observée à la loupe politiquement. Les rumeurs d'une forme de népotisme est en effet en oeuvre dans les contre -allées du pouvoir. Avec la venue d'étienne Mougeotte à l'élysée. - j'ai entendu ça ce matin - mais je me demande encore si c'est vrai ..
Les diverses "nominations" de proches du président de la république à des postes de direction de médias.
Comment cela va t'il se passer dans ce vénérable journal le monde ? Comptabiliser les votes blancs auraient permis à M. Colombani l'opportunité de proposer une alternative à la situation du journal. Alternative qui aurait justifié l'éxistence d'une contre proposition et donc d'un nouveau responsabl, au cas où JMC n'avait toujours pas réussi à convaincre.
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5/23/2007
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5/22/2007
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En lisant ce message, il m'a semblé qu'un élément majeur obligerai l'état à mettre des bulletins blancs dans les bureaux de votes...
Par pitié je n'arrive pas à m'enpécher de rire ...
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Mehdi
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5/21/2007
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Souvent j'entends dans les tractages que le vote blanc est une position confortable dans laquelle on ne choisit ni lun ni l'autre camps.
Ainsi j'ai lu sur un forum de discussion :
La pire attitude consiste à se prétendre neutre par sagesse, alors
qu'on agit par égoïsme ou par paresse : Il est tellement plus
confortable se laisser porter par les vents dominants !
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Mehdi
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5/20/2007
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Ils sont six à travers la France Voici la fin des aventures de Géraldine ...
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Mehdi
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5/19/2007
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5/19/2007
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5/18/2007
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L'algérie sombre dans un gouffre démocratique qui ne devrait pas être acceptable. Il est étrange que peu de pays réagiront à ce score scandaleux donné par la popualtion à sa démocratie...
35,51 % de participation, cela signifie que sur les 18 millions d'électeurs sur une population totale de 33 Millions seulement 6,5 millions d'électeurs sont allés voter. soit la moitié de la population -à comparer avec les deux tiers de la population française qui est inscrite- les deux tiers ont décidé de ne pas s'exprimer !
Cette part de la population fait suite à une autre abstention massive de 58 % en 2002. Evidemment cette fois ci contrairement à 1992 il n'y avait pas l'épouvantail de du parti Religieux-extrême pour faire peur. A tel point qu'à l'époque l'élection fut purement et simplement annulé.
Mais il semble plus facile pour certain gouvernement d'exprimer un rejet, au risque de mener le pays à une guerre civile que de laisser un peuple exprimer un autre choix.
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Mehdi
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5/18/2007
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5/15/2007
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Le rassemblement que Nicolas Sarkozy est-elle une stratégie politique ou une ambition de réelle ouverture ? Sur le devant de la scène, il y a certe, des figures de gauche, mais Bernard Kouchner peut elle être considéré encore comme une personnalité de gauche tant sa popularité est grande en France.
Le nouveau président de la République doit montrer pendant les 100 premiers jours sa détermination à vouloir changer les choses. Il y arrivera peut-être avec l'aide d'un François Fillon apparament aussi décidé. Car l'envie de rénover la démocratie après un tel score aux élections présidentielle vient de loin :
Nous devons donc réfléchir simultanément à des changements institutionnels profonds et à des nouvelles pratiques politiques qui pourraient en préparer l’adoption par le peuple français.
La situation internationale et nationale devait conditionner l’établissement d’un régime politique centralisé, volontariste ; un régime incarné par un monarque républicain, servit par un Etat souverain et dominateur. [..] Cette époque est révolue.
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Mehdi
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5/15/2007
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Mais c'est quoi un petit candidat ? c'est peut-être pas que ça.
En tout cas au Parti Blanc ça sera ça..
Mais c'est pas encore tout validé ... il reste encore des cases blanches...
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Mehdi
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5/14/2007
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5/14/2007
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Mehdi
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5/13/2007
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Outre un calcul plus précis qui permet de recalculer la légitimité de Nicolas Sarkozy :
En effet il a obtenu 50,84 % des voix des votants.
Le conseil constitutionnel indique :
Les incidents et les délais d'attente liés à l'utilisation des « machines à voter » ont été réduits. L'expérience de cette élection au suffrage universel a cependant montré que les formes traditionnelles du scrutin - enveloppe, bulletin, isoloir, urne, puis dépouillement, recensement des voix et proclamation - participent à « un rituel républicain » dont l'importance ne doit pas être sous-estimée.
Certains, même si les choses se sont mieux déroulées au deuxième tour, nous ont fait part de leurs réticences à l'égard des machines à voter.En en espérant bonne réception à Pierre et Chantal.Je crois, pour ma part, que cela provient du fait que le problème posé par les machines à voter est plus psychologique que technique.
L'usage de l' urne et des bulletins, le dépouillement manuel rendent palpables et familières les opérations électorales. La présence de scrutateurs assure un contrôle mutuel et visuel des opérations de vote. Tout cela est, d'une certaine façon, rassurant.
L' apparition des machines à voter ne permet plus cela, les habitudes sont bouleversées, les rites ne sont plus respectés.
Je rappelle que l' usage des machines à voter est ancien dans notre pays puisque le principe de leur utilisation a été autorisé en 1969.
Trois impératifs doivent être pris en compte :
1) offrir à nos concitoyens la certitude du respect de la sincérité du scrutin,
2) conserver intacte leur envie de prendre part au processus démocratique,
3) éviter de désacraliser le scrutin.
En effet, le vote est l'expression d'une célébration, celle de l'unité de la Nation.
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Mehdi
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5/10/2007
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Cet article a paru dans Le Nouvel Economiste :
Pouvoir politique | |
Démocratie Qui a peur du vote blanc ? | |
Choisir de ne pas choisir ? une “horreur politique” pour les partis mais un indicateur d’insatisfaction qui serait utile en démocratie. | |
>> Réagissez à cet article
| Par bPhilippe Plassart Le 22 avril dernier, on en a dénombré 536 000 au fond des urnes. Et l’on peut parier qu’ils seront encore plus nombreux le 6 mai au soir. De quoi s’agit-il ? Des bulletins blancs et nuls d’électeurs qui ont “choisi de ne pas choisir”. Une attitude qui ressemble en l’état actuel du système à un coup de pied pour rien dans la mare électorale puisqu’elle n’influe en aucune façon sur le résultat final. Ce qui fait dire à ses détracteurs que cette option revient à accepter ni plus ni moins que les autres décident à sa place. L’argument se veut dissuasif. Il n’empêche pas le vote blanc de progresser presque quasi inéluctablement. Lors des présidentielles de 1995, en % des inscrits, il avait atteint 4,9 % au deuxième tour, contre 3,1 % en 1988, 2,5 % en 1981 et 1,2 % en 1974. Lors de l’élection de 1969, celle du fameux “blanc bonnet , bonnet blanc” cher à Jacques Duclos, l’étiage était monté à 4,5 %, un chiffre voisin de la présidentielle de 2002 (4,4 %). Or une telle progression s’opère alors que rien ne n’est fait pour l’encourager. Qui a peur du vote blanc ? |
L’amalgame bulletin blanc bulletin nul “Pour les partis politiques, le vote blanc est l’ennemi. Ils ne veulent pas se créer une difficulté supplémentaire en le reconnaissant”, analyse Mehdi Guiraud, président du Parti blanc. Ce petit parti créé il y a une dizaine d’années pour promouvoir la reconnaissance du vote blanc aux élections tente régulièrement de présenter des candidats sous sa bannière. Mais pour l’heure, il a du pain sur la planche, car pas plus les partis politiques que la République n’aiment le vote blanc. Depuis une loi de 1852, les votes blancs ne sont plus comptabilisés parmi les suffrages exprimés. Et le code électoral leur réserve un sort identique à celui des bulletins nuls. La différence entre les deux est pourtant importante. L’électeur qui vote blanc prend soin de confectionner son bulletin à l’avance – ce type de bulletin n’est en effet mis à sa disposition dans les bureaux – ce qui marque une démarche réfléchie de sa part. Toute la question porte sur l’interprétation de ce vote subliminal. Un sondage réalisé en 1998 indique les motivations des électeurs blancs : refus des candidats en présence (36 %), hostilité à l’égard de la politique (35%), marque de désintérêt (13%) et enfin manque d’information (11%). Il n’y a guère d’ambiguïté : le vote blanc marquant prioritairement le refus des candidats en lice exprime une défiance lourde vis-à-vis de l’offre politique . Voter : choisir ou exprimer son opinion ? Dans un échange d’arguments avec Mehdi Guiraud, le président du Parti blanc, Dominique Reynié, politologue, rappelle la finalité d’une élection. “La théorie du suffrage universel insiste sur la finalité “élective” de la procédure. Il faut choisir. La crainte du législateur est que la possibilité de spécifier le vote blanc amène de trop nombreux électeurs à s’y réfugier en dernière minute.” Un fait est significatif : les sondeurs en général évitent de proposer l’option sans opinion car ils savent que beaucoup de personnes se rangeraient spontanément dans cette catégorie… Et l’argument de la liberté d’expression ne saurait suffire à éluder la question : que faire des bulletins blancs ? La difficulté est si réelle que jusqu’ici, la Suède est le seul pays démocratique à la reconnaître (avec le Pérou). En France, un sondage a fait revoter les électeurs du deuxième tour de la présidentielle de 1995 en incluant dans les choix possibles le vote blanc. Environ un quart des personnes interrogées (23 %) y aurait eu recours et parmi les participants qui ont voté pour Chirac ou Jospin, 14 % auraient voté blanc si cette option avait été possible. “L’effet sur les résultats serait considérable. Il n’y aurait pas d’inversion des vainqueurs. Mais Jacques Chirac au lieu de l’emporter par près de 53 % des suffrages exprimés aurait gagné avec 40 % des voix contre 37 % à Lionel Jospin. De quoi affaiblir la légitimité de tout président élu”, analyse Jérôme Jaffré, directeur du Centre d’études et de connaissances sur l’opinion publique (Cecop). Un “indicateur d’insatisfaction” Constitutionnellement, l’élection du président se fait en France à la majorité absolue des suffrages exprimés. La prise en compte des votes blancs dans le décompte des suffrages exprimés obligerait donc à modifier la Constitution pour prévoir qu’au second tour la majorité relative suffit, reconnaît Gérard Vignoble, député, dans un rapport de janvier 2003 sur la reconnaissance du vote blanc. A l’époque, la proposition de loi portée par l’UDF avait débouché sur une demi-reconnaissance du vote blanc. L’amendement adopté prévoyait en effet leur décompte séparé, mais il n’a pas été voté par la suite par le Sénat. Dommage : la reconnaissance du vote blanc contribuerait à améliorer le fonctionnement de notre démocratie. Comme un thermomètre, il pourrait servir d”indicateur d’insatisfaction” utile pour les partis et d’aiguillon pour les appeler à se transformer et mieux répondre aux demandes des électeurs. “Avec le vote blanc, l’électeur ouvert au dialogue. C’est une façon de remettre le débat au cœur de la démocratie, mais avec une proportion de 25% de blancs de nouvelles élections devraient être organisées avec d’autres têtes”, s’enthousiasme Mehdi Guiraud. Alors à quand un bulletin blanc proposé dans les bureaux de vote ? Les premières expériences du vote électronique – celui-ci propose automatiquement une touche “vote blanc” – pourraient annoncer son développement que les partis politiques auront du mal à récuser. |
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Mehdi
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5/10/2007
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