20 février 2007

Ségolène Royal remet aux calendes grecques le vote blanc

Demande de publication en cours.
Hier soir l'émission J'ai une question à vous poser de TF1, invitait la candidate socialiste à l'élection présidentielle.
Evidemment une question sur le reconnaissance du vote à été posé.
La réponse était claire : Le vote obligatoire à condition du vote blanc. Certes mais est-ce que le vote blanc mesuré aura une conséquence ? J'ai l'impression que le vote blanc échappe complétement à Ségolène Royal.


Ségolène Royal sur le vote blanc
Vidéo envoyée par partiblanc

3 commentaires:

  1. Elle ne répond pas, comme sur les autres sujets ...

    La spécialité royale !

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  2. Bonjour !

    Euh.. pas tout à fait d'accord avec l'analyse. Ségolène Royal a plutôt dit : "vote blanc à condition de
    vote obligatoire".

    D'accord avec la suite. Il faut bien comprendre que la reconnaissance du vote blanc n'est pas forcément liée au vote obligatoire, ressenti lui, souvent, comme une contraine de plus. Il y a aussi dans l'idée blanche, une notion de liberté, d'espoir et d'innovation politique et démocratique.

    Si Madame Royal estime que les votes blancs ne sont pas crédibles du moment que le vote obligatoire n'est pas présent alors elle doit aller philosophiquement au bout de la démarche : à ce moment-là aucun suffrage exprimé n'est crédible (25 % des suffrages en faveur de tel candidat ne représente rien puisque tous les électeurs ne sont pas exprimés ou n'ont pas été entendus : abstentions + votes blancs et nuls).

    Il ne faut pas oublier que la reconnaissance du vote blanc comme suffrage exprimé a cette première vertu : il permet de distribuer vraiment les cartes données aux candidats par les citoyens votants. Le vote obligatoire n'est qu'un moyen drastique de lutter contre l'abstention. Les personnes qui votent blanc ne se sont pas abstenues. Elles ont voté.

    Je sais pas si je me fais bien comprendre. Il me semble nécessaire d'implanter en douceur la reconnaissance du vote blanc (sans obligation d'aller voter), afin que les citoyens (les abstentionnistes aussi) puissent s'approprier ce "nouvel" outil démocratique.

    Il n'est pas temps de contraindre les électeurs à voter, à moins que cet acte citoyen soit rémunéré...

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  3. Une conférence est organisée à Paris sur ce thème le 4 avril à Paris.

    Plus d'infos sur http://www.laconstituante.org/article.php?article_id=12

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