15 février 2007

La nouvelle arcadie: Les citoyens s'expriment sur le vote blanc



La Nouvelle Arcadie, c'est pour moi, une petite perle de la démocratie. Et lorsque celle-ci met en débat le vote blanc, C'est avec grande fierté que je relaie les compte-rendus de ces débats.
J'en fais ici le résumé, mais il n'est en rien exhaustif ( faute de temps ), Si vous souhaitez tout lire visitez ce lien. j'essaie d'être autant que faire se peut le plus honnète possible dans les propos rapporté.

Ces débats éxiste depuis 1997, et c'est d'ailleur dans un de ces débats que l'idée du Parti Blanc est né au mois de Novembre 1997. Ce principe de café citoyen, c'était bien avant les initiatives à caractère électorales, ils ont toujours eu pour ambition de donner aux citoyens les moyens d'une expression respectueuse et équitable. Les règles énoncés et la charte donné en début de réunion sont d'ailleurs très claires :
  • Les citoyens qui veulent s'exprimer lèvent la main.
  • Les expressions partisannes et dogmatiques sont proscrites.
  • Les experts sont invités à s'exprimer dans les mêmes proportions que les citoyens.

Le débat proposé avait pour thème/Question :

Faut-il et pour quelles suites prendre en compte le vote blanc ?


Le premier citoyen ( celui ayant proposé la question au précédent débat )introduit le débat :
Alors la question du jour : faut-il et pour quelles suites prendre en compte le vote blanc, pour ma part ce qui m’intéresse est d’entendre l’avis des uns et des autres sur les suites à donner pour le cas où le vote blanc serait reconnu. J’ai une petite idée derrière la tête, je vous la livre maintenant et après je ne serais plus bavard, c’est promis. On a le cas dans plusieurs situations où la constitution et les règlements dans notre pays permettent de combler la vacance d’un poste lorsqu’il n’y a personne pour le prendre. Cela a été le cas deux fois, notamment lorsque Alain Poher a pris la présidence de la République. Donc on peut imaginer que devant une élection loupée, qui se solderait par un score blanc très important, on pourrait remettre l’élection à plus tard et assurer une espèce de pouvoir enfin d’une vacance du pouvoir entre les deux moments premières et secondes élections. Voilà la synthèse de mon idée. Formidable introduction et j'apprends au passage que Alain Poher alors président du Sénat a été président de la république par intérim a deux reprises : lors de la démission du Général de Gaulle du 28 avril au 19 juin 1969 puis à nouveau à la suite du décés de Georges Pompidou du du 2 avril au 24 mai 1974. Merci donc pour l'argument, je ne le connaissais pas, il figure désormais sur le sommet de ma besace ...

Evidemment la démarche est décriée et un citoyen explique : "je crains qu’elle n’aboutisse jamais sur quelque chose de concret. Pour moi voter blanc et s’abstenir c’est pareil, c’est une autre façon de ne pas décider même si les raison sont honorables et peut-être plus motivée mais la conséquence est la même[..]" S'en suit le même constat sur les faiblesses de nos démocraties que nous faisons, même si nous considérons que le vote blanc amorcerait un cercle vertueux.

La seconde intervention propose un seuil et l'instauration du vote obligatoire. tout en reconnaissant que la sanction est incontournable : "[..]pour le valoriser encore plus, et faire pression sur les candidats, il faut une sanction sinon ça ne sert à rien[..]".

La troisième intervention m'apprend également quelque chose : "[..]les renseignements généraux ont décidé qu’il y aurait neuf lettres de A à I qui annulent un vote. C'est-à-dire vous allez voter, vous mettez deux papiers dans l’urne, vous mettez une insulte sur un papier, vous mettez un vote blanc,[..]". En effet le quorum est fait sur les suffrages exprimés, et sont considérés hors du suffrage exprimés les éléments précités. Ce quorum est aujourd'hui de 25% des inscrits c'est à dire qu'il faut 75% d'abstention pour annuler un vote !!!. Le même interlocuteur (brillant, je trouve) ajoute :
"[..]Il y a donc une différence manifeste entre celui qui se déplace, qui fait donc un acte symbolique en se rendant dans [le bureau de vote] et après s’exprime et quelqu’un qui a décidé de ne pas y allez même s’il a toutes les bonnes raisons du monde[..]"
celui ajoute trés justement que "[..]ce qui est amusant est qu’à chaque fois qu’on en parle, on imagine que le vote blanc deviendrait d’un coup majoritaire[..]".
Effectivement, la question est toujours caricaturée, car cela ressemble à un aveu de faiblesse, Cependant je pense que c'est un indicateur de faiblesse des programmes politiques et non de la démocratie. Celle-ci tout au contraire, pourrait s'enorgoeuillir de reconnaitre une expression dissidente.

Un autre argument dans ma besace :
"[..]Le vote blanc a cette grande qualité là, c’est qu’il ne peut être interprété que d’une seule manière[..]"
hé hé, c'est une super réponse à ce qui pose la question de la signification du vote blanc ( parce que les motivations sont diverses ).
Cette remarque me plait bien également :
"[..]un tas de gens qui vont voter par défaut, c'est-à-dire, bon bien "je vais prendre le moins pire". Sauf que prendre le moins pire, le candidat s’approprie le vote et il s’approprie aussi bien le vote du militant que celui du moins pire[..]"

Puis une quatrième intervention qui répond, entre autre, sur le vote obligatoire :
"[..]Quant au vote obligatoire je suis le produit de ma formation initiale, j’ai été formé par les hussards de la république et l’obligation elle est morale je ne suis pas partisan d’une obligation législative de la participation à une consultation de quelque nature que ce soit[..]"

La cinquième intervention est symptomatique d'une certaine désillusion :
[..]je ne vois pas en quoi le vote blanc peut faire avancer la démocratie qui n’est plus aujourd’hui qu’une caricature. Parce que personnellement je considère que c’est verrouillé de toute part qu’il n’est pas possible d’avancer des idées nouvelles et de les faire porter par qui que ce soit dans la mesure où les politiciens se financent eux-mêmes, ont bloqué le système et que je dirais les gens qui se réclament être en dehors su système ce n’est qu’illusion.[..].

La septième intervention revient sur les origines du bulletins de vote, pour mieux expliquer le lent glissement qui s'est fait sur l'utilisation des bulletins de votes :
"[..]A ce moment là c’était le moment de la consultation un moment sacré, un moment où le citoyen devait exprimer sa volonté, dire moi je verrais bien à ce poste là untel ou untel. On pouvait noter sur un papier, on notait sur un papier libre le nom de la personne qu’on souhaitait voir en place. Petit à petit l’imprimerie arrivant, les moyens techniques se développant, on a formalisé les bulletins de vote donc avec des imprimés, c’est pour cela qu’après on devait se présenter avant et on ne pouvait plus voter pour son voisin.[..]" et c'est donc suite à l'impression des bulletins de vote que l'élection a changer de forme; "[..]ce n’est plus la consultation de la volonté réelle du peuple mais c’est une mécanique qui vise à élire et à mettre des gens en place, donc ce phénomène me semble-t-il a annihilé, détruit complètement l’idée de la démocratie, de la république. Il y en a qui ne veulent pas untel ou untel qui s’est présenté mais ne peuvent le dire[..]". La remise en perspective est passionnante, bravo le citoyen !! Car il est vrai qu'à force il y a une dérive : "Donc en fait la direction de la société a dérivé naturellement de par l’ impossibilité de ne pouvoir dire je ne veux pas que ça aille par là, donc on est en pleine dérive".

Certains répondront que le vote blanc n'est pas la solution à tout, non effectivement, nous considérons que c'est le début d'une réponse, c'est l'amorce d'une république rénovée, continuons..

La huitième intervention rebondit :
"Victor vient d’évoquer, de poser une question sommes-nous vraiment en démocratie.[..] il y a une phrase à la mode en ce moment c’est : « aimez la France ou quittez là ». Cette phrase est immonde. Et la phrase que nous disent les gens qui refusent le vote blanc, refusent de le prendre en compte c’est : « choisissez ou baissez les yeux » Moi je pense qu’il faut garder la tête haute et s’exprimer même par un morceau de papier."

La 9éme indique :Je vais revenir sur ce que vous avez dit tout à l’heure sur le verrouillage. Je dirais qu’effectivement ce sont les partis politiques qui verrouillent le système d’autant plus qu’il y avait auparavant le scrutin de liste, c'est-à-dire vous votez pour une liste, point final vous n’avez pas d’autres choix. Moi je me rappelle à la libération il y avait le panachage, c’était intéressant, on avait le droit de prendre quelqu’un dans une liste et dans une autre parce qu’on tenait compte de la qualité des personnes et non plus de l’appartenance à un parti politique. Or maintenant je dirais comme on disait autrefois, hors de l’église point de salut, hors des partis point de salut. Donc là c’est un point qu’il faut envisager et il faut peut-être arriver à débloquer tout cela. Ce que vous avez dit sur le vote blanc, sur plutôt le verrouillage du système, on a là quelques exemples.
Cependant je tiens à faire remarquer qu'à mon sens le problème ne doit être pris dans ce sens là. Mon objectif est réellement de faire passer la reconnaissance dans la réalité des faits. Et par conséquent l'enjeu est bien de convaincre, si on se contente de penser qu'il y a un "complot", cela déresponsabilise et nous retire des moyens d'actions.

la 11ème intervention justifie aussi : "Je trouve que l’avantage de prendre en compte le vote blanc serait de ramener à un pourcentage réel, de ramener à une réalité le pourcentage obtenu par les candidats. Cela ferait que ceux qui ont 12 ou 13% se retrouveraient peut-être à moins de 10%."

Le débat est vivant et les interventions fusent : Rapidement puisque depuis que j’ai demandé la parole beaucoup de choses ont été dites. La démocratie pour moi ce me semblait être la recherche de l’expression de la volonté générale. La volonté générale c’est quoi ? C’est le citoyen qui pendant une période donnée exprime au travers de la vie de tous les jours un certain nombre d’aspirations[..]Alors pour prendre une petite métaphore, si être citoyen aujourd’hui c’est simplement se rendre aux urnes et donc désigner un chef, il existait des tas d’autres régimes du temps des grottes.[..]En effet s’il s’agit simplement de dire qui va commander ce n’est pas forcément la peine de déplacer des millions de gens.[..]En démocratie ce n’est pas ça, la démocratie, l’exercice de la citoyenneté c’est exactement l’inverse.[..]Le vote blanc c’est précisément dire, écoutez moi j’ai observé ce qui se passait pendant l’exercice du mandat des élites et je ne suis pas du tout d’accord pour que l’un ou l’autre parmi ceux que vous me présentez représente dans la période à venir la volonté générale.
ou cet autre aussi :
Etymologiquement la démocratie c’est le pouvoir au peuple donc la question est de savoir si aujourd’hui en France le peuple a réellement le pouvoir. Dans une certaine mesure oui, et dans une certaine mesure la démocratie est probablement un petit peu en perdition. Donc moi ce que je pense personnellement c’est qu’on est probablement aujourd’hui dans un régime aristocratique, ce qui veut dire le pouvoir au meilleur..[..]il y a peut-être des candidats, peut-être tous qui ne vont pas correspondre au choix, aux attente ou aux opinions de tel ou tel citoyen. C’est où clairement le vote blanc reconnu est un instrument d’ouverture

L'animateur élargit le débat suivant ainsi le cours de la discussion:
Animateur- Je vais donner la parole à ceux qui n’ont pas encore parlé.
Mais je voudrais rebondir sur cette idée que finalement aujourd’hui ce qui manque c’est l’offre politique.[..]Et c’est peut-être ça qui fait peur, c’est peut-être après la reconnaissance du vote blanc qui fait peur finalement, cette sorte de vide auquel on a été habitués.

Face à une telle unanimité il est difficile d'exprimer une idée un peu contraire tout en étant dans la finesse: Je voulais souligner une chose, aujourd’hui je pense et la différence entre le vote local et le vote à l’échelle nationale. C’est vrai que la notion de vide est importante mais autant je conçois l’expression du vote blanc à l’échelle locale où on a une réelle expression de démocratie. A l’échelle locale quand le nombre, la population, n’est pas trop importante c’est facile d’insérer cela ; Autant à l’échelle nationale on est dans une démocratie représentative, on ne peut pas tous être responsables, on est dans un choix de qui va nous représenter dans nos choix. Et là le vote blanc pour moi appelle plus d’interrogation. Au second tour à la présidentielle l’expression d’un vote blanc me pose des questions pour moi personnellement.Qu’est-ce qu’aurait été la présidentielle de 2002 avec un vote blanc. Il ne faut pas oublier qu’il y a eu des gens comme Hitler, des gens comme Pétain qui ont été élus et aujourd’hui un système dans lequel on canalise le choix est aussi des fois un garde-fou.

Aprés que l'animateur est souhaité que l'assistance cesse de tourner "autour du pot", un intervenant reprend la précédente intervention qui suggérait un peu de pragmatisme :
le vote blanc en tant tel à mon sens n’est qu’un outil. Quand on utilise un outil on ne se pose pas forcément de grandes questions métaphysiques sur pourquoi j’utilise un outil. Donc essayons de rester un peu plus pragmatique pour le coup et de voir quelles seraient les conséquences réelles de la reconnaissance du vote blanc.[..] Il y a une espèce de trou noir où les lois tombent surtout celles qu’on ne veut pas voir appliquer. Et ça, ça veut dire une chose important c’est qu’il y a volonté manifeste de ne pas avoir un outil de plus. Alors c’est quand même amusant ? Moi si j’ai une tache à faire et qu’on me propose plein d’outils, pourquoi je refuserai un outil. C’est amusant cette idée de refuser un outil. Alors est-ce que cet outil va, je ne sais pas, est-ce que le fait que je ne sache pas m’en servir va montrer à quel point je suis mauvais [?]

bonne question.
Une autre question est également abordé :
Ça pose aussi la question de savoir si ça doit être un métier
et c'est autre de dire :
C’est juste pour dire que ce n’est pas parce qu’on est entré en politique et qu’on en fait et que ça se passe que ça doit durer toute une vie et qu’on doit être élu réélu, il faut qu’on laisse son poste à un autre et peut-être qu’il faut que ça tourne de manière plus, avec des cycles beaucoup plus courts.
Et celui-ci va plus loin et aborde la questions de renouvellement des élus :
Justement le fait du professionnalisme, il semblerait aujourd’hui, on le sent comme ça parce que les personnes qui nous représentent comme chef d’état ont fait une carrière en fait uniquement vouée à la fonction exécutive ou législative. Et moi ce qui me questionne beaucoup c’est justement que quand on parle du vote blanc on atteint un peu à cet emploi, à ce métier.[..]se pose la question de savoir qu’est-ce la profession d’homme politique puisqu’en France en plus c’est bien établi, il y a des écoles plus ou moins qui prédestinent, je pense à L’ENA même si tout le monde de vient pas de l’ENA.
Mais quand le sujet est la démocratie, comment éviter de parler de la démocratie athénienne et d'expliquer ainsi les raisons originelles de la professionalisation des politiques.
Sur la question de la professionnalisation, dans la démocratie grecque à Athènes la politique n’était pas une profession, mais Périclès a institué le triobole pour permettre à ceux qui travaillent et qui ne pouvaient pas quitter leur travail pour aller à l’assemblée de pouvoir être rémunérés, chaque fois qu’ils allaient à l’assemblée, à l’équivalent d’une journée de travail. Pourquoi les professionnels de la politique sont-ils payés, en grande partie au départ en tout cas pour les protéger de toutes les corruptions, c’est pour ça que ça a été fait.
Mes amis ce débat est de trés hautes tenues Jacqueline De Romily n'a qu'a bien se tenir ... !

D'ailleurs c'est bien parce que les rêgles sont respectés et que les citoyens se sentent respectés qu'il vont s'exprimer, quite à se faire rappeler à l'ordre lorsque qu'il parleront du Parti Blanc
Animateur- pas de prosélytisme SVP

Euh désolé, je reprends mon compte rendu :
Eh ! mais c'est mon blog je fais ce que je veux... !! non mais !
reprenons
un citoyen agacé par la surdité de sa Commune :
Certes il y a plein de choses à dire, tout à l’heure quelqu’un parlait de démocratie locale, je voulais en parler un peu aussi. Je crois qu’il n’est pas possible au niveau d’une démocratie locale, et on a eu un bon exemple à Caen, par rapport à voulez-vous un TVR, où 70% des gens ont répondu non et on a dit et bien vous l’aurez quand même.
[..]Ceci dit ils sont tous dans un système de parti dont ils ont accepté les clauses et ils s’en servent pour leur finalité, c'est-à-dire en gros être à leur place et pourvoir continuer à faire leur petit business. Moi j’estime que dans la société civile, une entreprise qui ne réussit pas est déclarée en faillite et on change ses dirigeants. Je ne vois pas pourquoi on ne devrait pas faire comme ça dans la société politique.

Celui ci souhaite plus de concret :
Le fond de ma pensée est que la prise en compte du vote blanc pour le vote blanc, c’est nul, d’où la formulation de ma question faut-il et pour quelles suites prendre en compte le vote blanc. Lorsque l’on vote blanc on pose une question, et chacun sait que lorsqu’on rentre dans le bureau d’un patron avec une question on l’emmerde. Lorsqu’on rentre dans le bureau du patron, il y a des patrons ici, ils sont fous de joie, lorsqu’on rentre dans le bureau du même patron avec une question et une partie de la réponse voire la réponse complète on l’intéresse.[..]Imaginons un instant que ça y est, c’est reconnu, c’est pris en compte mais c’est pris en compte. pourquoi ? pour faire quoi derrière ?
[..]Ce qui m’intéresserait d’entendre dans la bouche de ceux qui y croient c’est que proposer pour l’après vote blanc, et puis aussi parce que c’est important, que ceux qui n’y croient pas nous disent en quoi les propositions sont tout bonnement inconcevables.

Il est toujours bon de rappeler qu'il y a un moyen d'agir, et cela sans être un professionnel et c'est en cela que nous pouvons être fier de la nouvelle Arcadie :
[..]est-ce que la politique est un métier aujourd’hui. Alors c’est aussi pour moi l’occasion de saluer le travail de cette association, la nouvelle Arcadie puisque l’équipe fondatrice a eu cette vision en créant l’association qui était la vision suivante, la politique ne devrait pas être un métier. Quand le pouvoir quel qu’il soit politique ou médiatique annonce le contraire et bien il y a des citoyens en France qui clairement réagissent par rapport à ça et considèrent que ça ne devrait pas être un métier,[..]

Voilà je commence à me dire que si vous avez lu jusqu'ici, c'est que vous pourrez lire les dernières contribution que vous trouverez en ligne qui parle de reprensentativité et des conséquences du vote blanc qui a permis de relativiser :

Dans ce cadre là pour arriver à savoir quelle est réellement la volonté du pays, la volonté générale il y a à mon sens quelque chose à faire, ce serait l’organisation nationale d’un grand débat, de réinteressement des citoyens que nous devrions être, à la chose publique à la chose politique et en ce sens généraliser les cafés citoyen sur tout le territoire, pour faire plaisir au président de la nouvelle Arcadie de Caen, à savoir si effectivement pour pallier à cette recrudescence du vote blanc, un débat national sur quelle voie prendre. Ainsi cela a permis de clore le débat par l'habituel choix de la question pour le débat suivant :

1- Nouvelle citoyenneté, nouvelle République ?...................................... 4 VOIX
2- La contribution fiscale est-elle un acte citoyen ?...............................14 VOIX
3- Un citoyen avec des devoirs ?.................................................... 9 VOIX
4- A quoi sert la citoyenneté aujourd’hui ?......................................... 2 VOIX
5- Les riches sont-ils utiles à la société ?........................................11 VOIX
6- En dehors des élections le citoyen peut-il faire évoluer la société ?............11 VOIX
7- Comment envisager une véritable cité citoyenne ?................................. 7 VOIX
8- Que serait s’occuper de la sécurité des citoyens ?............................... 7 VOIX
9- Quelle retraite pour demain ?.................................................... 8 VOIX
10-Qu’est-ce être un homme ou une femme politique aujourd’hui ?.....................12 VOIX
11 Quelles sont les véritables richesses de la société d’aujourd’hui ?..............11 VOIX
12-La raison d’état peut-elle justifier la manipulation des masses ?................11 VOIX

PROCHAIN DEBAT : SAMEDI 24 FEVRIER 2007
- La contribution fiscale est-elle un acte citoyen ?







1 commentaire:

  1. http://unhumainunevoix.com
    Bonjour
    voila pour moi la meilleur façon de mettre en place la démocratie.
    Merci de faire passer.
    cordialement.

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