Ségolène Royal dit rien de bon, Nicolas Sarkozy dit rien, et François Bayrou dit.
Et pendant ce temps le mécontentement et l'indécision s'étend sans que les médias se mobilise.
Est-ce ainsi que la France a retenue la leçon du 21 avril 2002 ?
Le mécontentement tout au long de la campagne est censé baisser pas se stabiliser et encore augmenter.
Or dans tous les instituts de sondages qui mesure les intentions de vote. La mesure de l'abstention, le vote blanc ou Nul fait apparaître la volonté d'une autre campagne :
Les périodes sont entre 8 et 15 jours entre les mesures.
Chez Ipsos les Abstentions, vote nuls ou blancs passent de 15 % à 16 %
Chez LH2 17% puis 18% de personnes certaines d'aller voter n'ont pas exprimer d'intention de vote.
Au CSA 25% puis 27% le 13 et 14 Février.
On voit donc comment un seuil à 25 % de vote blanc pour reporter l'élection changerait le point de vue de tous les candidats..
Les sondages disponibles ne permettent pas de pouvoir observer l'évolution en 2002, notamment parce que les critères de comparaison, ne sont pas les mêmes.
La volonté d'alternative, met en évidence une phase où les votes des électeurs peuvent changer très rapidement, notamment du fait du fantastique réservoir de vote que constitue François Bayrou.
Démonstration que c'est le seul moyen disponible pour exprimer une volonté de changement républicain.
D'où la volonté des deux tiers d'électeurs de rester ouvert au vote vers un autre candidat.
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