25 avril 2006

Le silence de mort des partis politiques

Moussaouï en est là de sa vie, pendu au mots des jurés américain. De la banlieue au tribunal américain. Moussaouï aura tenu en haleine une bonne partie du monde. Les hésitations à prononcer cette peine de mort n'ont pas permis de mettre en lumière l'attentat du 11 septembre. Et malgré son discours persistant anti américain cela n'a pas permis d'étouffer le débat crée par le film Loose Change. Suspendu à la décision d'un juri américain sous les feu des médias. Son militantisme forcené, et sa rage l'aura mené à la célébrité. Son comportement est inexplicable, cette hargne m'est incompréhensible, il reste que des hommes qu'il voulait tuer vont le tuer. Voilà, nous ne sommes pas dans un western, ni dans un roman d'aventure, c'est la vrai vie. Celle que scénarise les médias. Parce que probablement cette réalité là est trop violente. Mais ces médias l'ont comdamné eux-aussi. Il est coupable, l'admet , l'avoue, le clame, le revendique. Il va donc mourir. Cela semble être logique. Une nouvelle version tragique s'écrit sous nos yeux : Celui qui a voulu faire périr périra. Le procés d'intention arrive donc à son terme, sous le silence aprobateur des partis politiques qui ont abolit la peine de mort. Le grand écart n'est plus, il y a cohérence entre l'inumanité de la volonté de tuer et l'actede tuer. C'est une démocratie qui l'entérine pour un ressortissant d'une autre démocratie. Et là pour le coup ce ne sera pas les démocraties qui vont y gagner, mais les tyran terroristes qui pourront, alors, les ridiculiser.

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