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Anne duquesne Le blog anne duquesne
Seule la sincérité du scrutin peut préserver notre République une et indivisible
Comptabiliser les bulletins blancs parmi les suffrages exprimés permettra de refonder notre démocratie sur la base d'un geste électoral à nouveau partagé par tous : le vote.
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Mehdi
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2/08/2007
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Le ministre-candidat fait il des promesses qu'il ne tient pas ? Pourquoi la prise en compte distincte du vote blanc ne fait elle pas partie de son programme ? Il ne fait pas non plus partie du projet législatif de l'UMP. Aujourd'hui aprés avoir été débattu au sénat une discussion réformant le cadre institutionnel réforme une partie du droit éléctoral a lieu à l'Assemblée Nationale. En introduisant par exemple le RIC pour Mayotte.
Et pourtant le même ministre répondait à une sénatrice :
Question écrite n° 21522 de Mme Patricia Schillinger (Haut-Rhin - SOC)
publiée dans le JO Sénat du 09/02/2006 - page 341
Mme Patricia Schillinger attire l'attention de M. le ministre d'Etat, ministre
de l'intérieur et de l'aménagement du territoire suite aux remarques faites par
plusieurs électeurs de sa circonscription et des élus concernant la prise en
compte des bulletins blancs comme des suffrages exprimés lors des élections. En
effet, ces derniers estiment que le citoyen qui choisit le vote blanc ne veut
pas marquer son abstention mais, au contraire, son attachement à la
participation citoyenne. Le fait de voter blanc exprime pour eux le rejet des
propositions faites par les candidats en liste. Par conséquent, elle lui demande
de lui indiquer quelles sont les intentions du Gouvernement concernant le vote
blanc et s’il entend prendre des mesures.
Réponse du Ministère de l'intérieur et de l'aménagement du territoire
publiée dans le JO Sénat du 13/04/2006 - page 1082
Depuis le décret du 2 février 1852, repris par l'article 9 de la loi du 29 juillet 1913 et codifié par l'article L. 66 du code électoral, les bulletins blancs sont pris en compte dans le taux de participation et se distinguent donc des abstentions. Ils sont comptabilisés avec les bulletins nuls comme suffrages non valablement exprimés. Si la prise en compte des bulletins blancs parmi les suffrages exprimés présente des inconvénients majeurs, leur comptabilisation de façon distincte des bulletins nuls ne soulèverait pas de difficulté. Cette question pourra être débattue dès qu'un projet de loi de modernisation du droit électoral sera déposé.
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Guiraud
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2/07/2007
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Le Journal le monde, que je croyais contre le vote blanc, le mets en relief, avec cette formule que je trouve proprement merveilleuse: "Le vote pour la démocratie". Formule peut-être un peu cache-misère pour éviter de dire anti-Lepen, mais bon vaut mieux ça que rien, en attendant plus....
Donc retenez : quand on ne vote pas pour un candidat on vote pour la démocratie [en votant blanc...].
Article trop cher pour être publié sur mon blog (480 €).
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Mehdi
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2/03/2007
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Mehdi
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2/03/2007
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Aucune | 7.89% | |
invalidation si il est supérieur à 50% de suffrages exprimés | 21.57% | |
invalidation si il est supérieur à 33% de suffrages exprimés | 25.26% | |
invalidation si aucun égale ou surpasse ce score | 45.26% |
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Mehdi
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1/31/2007
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Or, ce que je viens de vous dire, [..], est tout simplement la possibilité pour chacun de vous d'exprimer toute son opinion à travers une élection nationale. Cela veut dire -précisera-t-il- que la constitution de la République Islamique de Mauritanie adoptée avec un taux de participation 76% et avec 96% de Oui et les lois organiques complétant, reprennent les mêmes dispositions et disent que pour être élu, un président doit avoir au moins, la majorité absolue des voix exprimées et que les voix exprimées sont celles obtenues par tous les candidats ainsi que les votes blancs
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Mehdi
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1/29/2007
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Mehdi
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1/24/2007
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Mehdi
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1/24/2007
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Comme à chaque fois que l'on crée un club nous avons des messages de sympathie qui nous parviennent. Il y en a de moins sympathiques évidemment, mais plus rare, sur mon blog, Vous pourrez lire également ces quelques réactions dans les commentaires d'Agoravox.
Pour ce qui est des remarques réconfortantes voici donc un des retours de Marseille:
Une jeune femme :
Bonjour,
Je n'ai que 19 ans, c'est la première fois que je vais voter mais j'ai toujours cru que le vote blanc devrait faire partie des comptes pendant le dépouillement.
Je pense que c'est un manière de montrer aux hommes politiques qu'ils devraient se remettre en question car quand ils obtiennent 20 % des votes, ce n'est pas 20% de la population votante...
Je suis également d'accord sur le fait que c'est un moyen de lutter contre l'abstention car le vote est un droit mais aussi un devoir.
merci pour votre action,
E.
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Mehdi
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Club de Marseille,
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1/17/2007
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La question du vote blanc est régulièrement soulevée à l'assemblée Nationale et au Sénat. Les réponses varient, mais les actes restent inchangées, et l'on repousse au calendes grecs l'adoption de cette mesure civique. Voici dons la question d'une sénatrice du Haut-Rhin au mois de Février 2006 :
Mme Patricia Schillinger attire l'attention de M. le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire suite aux remarques faites par plusieurs électeurs de sa circonscription et des élus concernant la prise en compte des bulletins blancs comme des suffrages exprimés lors des élections. En effet, ces derniers estiment que le citoyen qui choisit ne veut pas marquer son abstention mais, au contraire, son attachement à la participation citoyenne. le vote blancLe fait de voter blanc exprime pour eux le rejet des propositions faites par les candidats en liste. Par conséquent, elle lui demande de lui indiquer quelles sont les intentions du Gouvernement concernant le vote blanc et s’il entend prendre des mesures.:
Depuis le décret du 2 février 1852, repris par l'article 9 de la loi du 29 juillet 1913 et codifié par l'article L. 66 du code électoral, les bulletins blancs sont pris en compte dans le taux de participation et se distinguent donc des abstentions. Ils sont comptabilisés avec les bulletins nuls comme suffrages non valablement exprimés. Si la prise en compte des bulletins blancs parmi les suffrages exprimés présente des inconvénients majeurs, leur comptabilisation de façon distincte des bulletins nuls ne soulèverait pas de difficulté. Cette question pourra être débattue dès qu'un projet de loi de modernisation du droit électoral sera déposé.Evidemment la réponse est conforme à la position de l'UMP sur le point de séparer les bulletins blancs et les bulletins nuls. Ce double affichage est "stérile", même s'il vaut mieux que rien.
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Guiraud
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1/16/2007
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Demain à 16 heures nous serions heureux de vous rencontrer de 16 heures à 18 heures à la Locandiera
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Guiraud
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1/12/2007
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Voici des extraits de la discussion du 30 Janvier 2003, du point de vue de l'UMP
Pascal Clément(UMP): "une centaine de parlementaires du groupe de l'UMP qui, eux aussi, ont demandé la reconnaissance du vote blanc aux élections,Il s'agit donc d'un vrai problème, à propos duquel j'aimerais faire certaines observations.""Cette élection [Le référendum sur le quinquenat] a montré que les électeurs sont informés du fait qu'ils peuvent, tout en participant, refuser de faire un choix entre les deux possibilités qui leur sont offertes." et un peu plus loin : "Ceux qui veulent prendre en compte les bulletins blancs disent que c'est pour lutter contre la décrédibilisation ou la délégitimisation des élus, mais si leur proposition était acceptée on en arriverait à une autre forme de délégitimisation."
"En effet, si cette proposition de loi était adoptée, nous risquerions, les uns et les autres, dans la plus grande majorité des cas, d'être élus avec une majorité inférieure à 50 %. Que dire de la légitimité d'un candidat qui serait élu avec moins de 50 % des voix ?".
"Voici pourquoi la commission des lois a adopté cette voie médiane[affichage des scores du vote blanc à coté des votes nuls], qui prend en compte le souci du rapporteur [Gérard Vignoble ]et celui de nombreux députés sur l'ensemble des bancs de l'assemblée. Le texte adopté est déjà assez novateur en soi et il satisfera ceux des Français qui ont depuis toujours considéré que leur vote « blanc » n'était pas assez connu."
M. Jean-François Copé, secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement, porte-parole du Gouvernement: " je ne suis pas certain que la prise en compte des bulletins blancs dans les suffrages exprimés réponde à elle seule et de façon efficace au malaise qu'expriment certains de nos concitoyens les jours de scrutin. [..] Vous pourrez, à ce stade, objecter que, si elle permettait à nos compatriotes de retourner en masse vers les urnes, la prise en compte du vote blanc dans les suffrages exprimés vaudrait bien à elle seule un toilettage de la Constitution, du code électoral, voire une multiplication du nombre des tours de scrutin."
L'UMP reconnait donc les bien faits de la reconnaissance du vote blanc... et l'applique dans ces scrutins internes, masi s'il sagit d'adouber le président de l'UMP, Nicolas Sarkozy.
Ecrit par
Mehdi
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1/12/2007
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Ce texte a été proposé aux plus grands journaux français, mais la question ne leur a jamais paru d’importance. Serait-ce que les grands partis politiques, qui sont derrière ces journaux, redoutent une mesure qui contrecarrerait leur démagogie et éliminerait des acteurs trop bien en place? L’abstention croissante ou la présence de candidats extrémistes de tous bords, signes d’un rejet du fonctionnement actuel de la démocratie en France, est un sujet de second ordre pour ces médias. Pourtant, la reconnaissance du vote blanc, qui existe ailleurs sous différentes formes, permettrait de rassembler vers la démocratie de nombreux Français.
Et si au second tour des Présidentielles les Français devaient choisir entre Le Pen et la candidate Ségolène Royale ?
Une telle éventualité, nullement irréaliste et qui mettrait à mal l’électorat de la Droite républicaine, est rarement envisagée dans les médias. Sans doute gène-t-elle les grands partis de Gauche et de Droite en soulignant le mal-être de la démocratie en France, pourtant diagnostiquée par de nombreux journalistes, et le détournement de son fonctionnement par les jeux politiciens. L’alternative « Le Pen ou Chirac » en 2002 n’a-t-elle pas pris les médias par surprise et placé les électeurs des Gauches, cette fois-là, dans l’inconfortable obligation de voter à l’encontre de leurs convictions ? Quelle peut être, alors, l’autorité morale et l’assise démocratique d’un président élu à contre cœur par une majorité de votants, seulement pour s’opposer à un autre candidat perçu comme pire ?
Dans l’hypothèse d’un choix entre Ségolène Royale ou Jean-Marie Le Pen en 2007, que feraient les électeurs des Droites ? Qui oserait prévoir ce que serait « le pire » pour eux ? Les plus honnêtes, ceux qui refuseraient une telle alternative, ne seraient-ils pas tentés de s’abstenir... ou de voter blanc ? Ils se trouveraient alors exclus du suffrage dit « universel » du fait que les bulletins blancs, comme les nuls, ne sont pas comptabilisés dans les suffrages exprimés. Le président ou la présidente risquerait donc, une nouvelle fois, d’être élu(e) comme « le moindre mal » et seulement par une minorité des électeurs.
Une progression inquiétante des abstentions et des votes Blancs
Journalistes et sociologues ne manquent pourtant pas de souligner cette inquiétante dégradation de la démocratie en France. Les Français perçoivent de plus en plus mal leurs hommes politiques et font de moins en moins confiance à l’État, tout en attendant de lui, peut-être faute de mieux, toujours plus d’assistance. Une « démagocratie » tend insidieusement à se substituer à la démocratie. Les politiques en sont conscients puisque Alain Juppé est allé jusqu’à dire, devant ses étudiants québécois : « En France comme au Canada, l’image des hommes politiques est désastreuse. C’est même l’un des métiers qui dans les sondages suscite le plus d’aversion, à égalité avec celui de prostituée (sic) » ! (Le Monde 2 N° 117, 13/05/06, p. 33). Faut-il s’étonner du désintérêt d’une partie croissante des Français pour une démocratie, voire de son rejet par une minorité, s’ils perçoivent celle-ci comme manipulée : 70% d’abstention et 4,9% de votes blancs ou nuls lors du référendum sur le quinquennat ! 2,43% de votes blancs ou nuls et 29,3% d’abstentions au premier tour des présidentielles de 2002 ! Aux législatives, les abstentions étaient déjà passées de 21,5% en 1986 à 32% en 1997 (sources : Assemblée nationale). Faut-il s’étonner par ailleurs de la montée consécutive des votes pour les partis extrémistes de droite ou de gauche et les petits partis « poil à gratter », votes essentiellement « réactionnaires » parce qu’en réaction contre la classe politique dominante ? Pour la prochaine élection présidentielle, les « Primaires » à la française, organisées par les deux principaux partis, si elles sont dans l’intérêt de ceux-ci, donnent le sentiment de verrouiller le choix des électeurs.
La prise en compte du vote Blanc pourtant discrètement examinée à l’Assemblée nationale.
Certains députés sont devenus conscients qu’ils ne pouvaient plus éluder systématiquement la demande insistante des électeurs de comptabiliser les votes blancs. En 1999, un sondage IFOP indiquait que 7% des Français avaient voté Blanc, 13% quelquefois et 16% rarement, soit par refus des candidats en présence, soit par hostilité aux politiques proposées (sources : Assemblée nationale). Au cours des trois dernières législatives, il y eut déjà douze propositions de loi dans ce sens, rarement relayées dans les médias. La dernière, déposée par le député UDF Jean-Pierre Abelin et débattue par la Commission des lois constitutionnelles le 22 janvier 2003, puis délibérée en séance publique le 30 janvier, visait (Article 1) à ce que les maires mettent à la disposition des électeurs autant de bulletins blancs que d’inscrits, (Article 2) à ce que les bulletins blancs « soient décomptés séparément et entrent en compte pour la détermination des suffrages exprimés ». Cela a été voté à l’Assemblée nationale, mais n’a pas été débattu au Sénat, de sorte que la loi, comme beaucoup d’autres en France », ne sera jamais appliquée. Le Parti Blanc (www.partiblanc.fr/) s’en est ému dans les médias, mais ceux-ci n’y firent guère écho.
Les modes d’emploi du vote Blanc
Le bulletin blanc signifie, dans le cas d’un référendum, que l’électeur ne juge pas pertinentes les questions posées ou est en désaccord avec les réponses possibles. Dans le cas d’une élection, c’est le rejet des candidats. Lors de la dernière élection présidentielle française du 21 avril 2002, si la reconnaissance et la comptabilisation des votes blancs avaient été inscrites dans la loi, il n’est pas impossible que ceux-ci eussent été plus nombreux que les votes en faveur de Le Pen ou de Chirac, les deux candidats du second tour. Et l’évolution de la France n’aurait-elle pas été différente ?
Quelles conséquences une loi officialisant la prise en compte des votes Blancs devrait-elle prévoir ?
La logique démocratique et le respect de l’expression populaire impliqueraient d’annuler le référendum ou d’en modifier les questions et, dans le cas d’élections, de reprendre le scrutin avec d’autres candidats. Le renouvellement de la classe politique s’en trouverait accélérée. C’est la raison pour laquelle les élus redoutent et repoussent autant qu’ils le peuvent la reconnaissance du vote Blanc. D’ailleurs, les propositions de loi déposées jusqu’à maintenant n’envisagent qu’une comptabilisation distincte des votes Blancs, sans en tirer les conséquences logiques. Le déplacement vers le bureau de vote de l’électeur, son acte de déposer un bulletin blanc dans l’urne reste donc assimilé à de l’abstention.
Le vote Blanc en Belgique et en Suède
Le vote Blanc est reconnu en Belgique et en Suède. Il est important de préciser comment il fonctionne dans ces deux pays. Si en France le vote n’est pas obligatoire, obligation qui serait incompatible avec la mentalité française, il l’est depuis le XIXe siècle en Belgique. La contrepartie de cette obligation a toujours été associée avec la prise en compte du vote Blanc. Mais l’article 156 du Code électoral sépare les bulletins blancs et nuls du décompte des votes . Ensuite l’article 157 considère comme nuls ou invalides (alinéa 4) : "Ceux qui ne contiennent l’expression d’aucun suffrage". Le résultat est enfin proclamé par un cheminement assez comparable à la France : http://www.elections.fgov.be/pdf/loiwet.pdf. Dans ce mode de scrutin, tout comme ce que prévoient les projets de lois déposés en France, le décompte ne peut influer sur le résultat de la consultation. A tel point que le « Vlaams Blok », l’extrême droite, est le deuxième parti de Flandre, parce qu’il draine, comme Le Pen en France, les votes contestataires. La montée de la misère et des affaires politico financières provoque, en Belgique aussi, une perte de confiance des électeurs. Par ailleurs, de nombreux commentateurs s’accordent pour constater que l’abstention et le vote Blanc ou nul correspondent à des scores comparables à ceux des partis traditionnels. En Belgique, l’obligation de voter n’est donc pas réellement compensée par une totale liberté d’expression de l’électeur, qui impliquerait la possibilité de refuser des candidats et, par voie de conséquence, de les rendre inéligibles, au moins pour quelques années.
En Suède, le problème se pose différemment. On ne parle plus de bulletins blancs, mais on comptabilise ensemble la totalité des bulletins invalides (ou annulés), ce qui inclut les bulletins blancs. Si le nombre de ceux-ci égale ou dépasse celui des autres bulletins, l’élection est annulée et il donc est procédé à un nouveau vote. (Art 25). De ce fait, un bulletin déchiré ou comportant des insultes a la même valeur d’expression qu’un bulletin blanc. Il n’y a pas de conséquences, non plus, pour les élus ayant participé à une élection où plus de 50% des électeurs ont voté blanc.
Engager un débat sur le vote Blanc en France... et ailleurs.
Cinq ans après le séisme qu’a représenté le choix entre Le Pen et Chirac le 21 avril 2002, la prochaine élection présidentielle devrait inciter les responsables politiques français à faire preuve de courage et d’honnêteté en donnant un signe fort d’assainissement de la démocratie en France. Mais quel parti inscrira dans son programme la comptabilisation des bulletins blancs comme suffrages exprimés ? Quand le choix par défaut pourra-t-il être remplacé par un véritable choix d’engagement, c’est-à-dire par un choix « d’action » et non de « réaction » ? Toutefois le malaise de la démocratie ne fait pas partie de « l’exception française », mais touche d’autres pays d’Europe et d’Amérique. En légalisant la reconnaissance et la comptabilisation du vote Blanc, réclamées dans plusieurs pays, la France, qui aime bien se montrer en exemple, pourrait prendre la tête d’un mouvement de modernisation de la démocratie qui finirait bien par se « mondialiser ».
_______________________________
Patrick Plumet , Professeur honoraire de l’Université du Québec à Montréal.
Ecrit par
Mehdi
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ségolène royal,
vote blanc
le
1/09/2007
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Tout le monde va en parler, je trouve ce site génial : http://fr.ekopedia.org.
Tout ce que vous avez voulu savoir sur l'écologier sans jamais oser le demander. Il y a par exemple ce moteur à air comprimé, vous savez le; genre d'in fo qu'on cherche mais que l'on n'arrive jamais à trouver. J'aimais bien ekwo.org, mais celui-ci dépasse en qualité tout ce que j'ai pu voir jusqu'a présent.
Bravo donc à HertzZ et au collectif qu'il a su créer. Plus efficaces que le pacte à mon avis, puisque cela fait appel à la bonne volonté de chacun.
Ecrit par
Mehdi
Libellés :
écologie,
Nicolas Hulot
le
1/08/2007
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À l'U.M.P. lors d'une élection, on met en oeuvre le vote blanc pour palier à un scrutin manifestement sans enjeux.
Au parti socialiste, de la même manière, Le bureau politique a écarté ostensiblement les votes blancs pour éviter tout revers. Lequel, outre le fait qu'il soit révélateur, serait dommageable politiquement.
Du coup , je me demande à quoi serve vraiment ces scrutins internes.
Ecrit par
Guiraud
Libellés :
parti socialiste,
UMP,
vote blanc
le
1/08/2007
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Dans l'émission de laurent ruquier, "on est pas couché". Samedi 6 Janvier 2007, 23h 20.
Ecrit par
Mehdi
Libellés :
alain minc
le
1/06/2007
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Ecrit par
Mehdi
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Dominique de Villepin,
Jacques Chirac,
jean louis borloo,
nicolas sarkozy,
UMP,
vote blanc
le
1/05/2007
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Ecrit par
Mehdi
Libellés :
François Bayrou,
nicolas sarkozy,
parti socialiste,
udf,
UMP,
vote blanc
le
1/03/2007
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Merci à Versac pour l'idée. Avouez : le blanc met en valeur les couleurs, non ?
Ecrit par
Mehdi
Libellés :
vote blanc
le
1/01/2007
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Ecrit par
Mehdi
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démocratie,
front antilibéral,
michel onfray,
vote blanc
le
12/30/2006
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