04 décembre 2006

Le choix de la paralysie

Je suis de sortie ce soir, je mettrai par la suite l'échange que j'ai au avec Mr philippe Bouvard, que je ne saurais trop remercier. Mais rapidement disons que la meilleure façon de ne pas parler du fond est souvent d'imaginer le pire : la paralysie. Sauf que ce n'est évidemment pas l'objectif du Vote Blanc. Celui-ci est là pour permettre aux électeurs qui ne souhaite donner leur voix à personnes de pouvoir s'exprimer tout de même.
On peut imaginer le pire et lui donner une réponse qui correspond donc à une crise. Evidemment lorsque l'on réponds à une crise il ne faut pas de demi-mesure. Mais est-ce pour autant la seule réponse qui sera mise en oeuvre dans le cas d'une situation intermédiaire ? Non mais il faut savoir faire peur au bon peuple pour pouvoir le contrôler.
Ensuite pour ce qui du choix suffisant, Cela fait plus de trente ans que des choix insuffisant se propose au Français. A tel enseigne qu'en 1974 VGE a fait passer le nombre de parrainages necessaires de 50 à 500 puisque déjà à l'époque prés de 7 candidats se présentaient. Chiffre qui peut paraître ridicule à coté des 16 de la précédente élection...
Nous entendrons ensuite Mr Apathie militer pour la réduction du nombre de candidats pour ne pas avoir de dispersion. Que pensez-vous M. Apathie de réduire le hasard du second tour avec une reconnaissance du vote blanc ? Qui lui, canaliserait les contestations sans fragiliser les candidats avec de véritable programme.
Parce que si la paralysie est évité par le choix aujourd'hui vous pourrez nous accorder de donner une réponse à la crise du politique en France.

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